Pitite rando (PV avec quelqu'un qui connait la montagne)

Ruika entendit de l'agitation et elle regarda les rives du lac avec ses deux yeux ! Cela était plus que bizare de voir à nouveau en trois dimentions, et c'était plus qu'agréable ! Elle chercha donc d'ou venait le bruit. Son regard passa sur les arbres qui bordaient le lac, en majoritée des conifères car elle avait dépassé l'altitude ou pousse les chène et autre arbres. Elle apréciait l'air frais des cimes. Elle était même heureuse car sur le chemin elle avait trouvé des mirtilles et s'en était gavée jusqu'à avoir la bouche toute violette ! Et c'est ainsi qu'elle aperçut parmi les rododindrons en fleurs.



C'était un garçon qui semblait se disputer avec son... CHIEN ? Il lui sembla reconnaitre le garçon elle devait être avec lui en cour... Oui c'était cela ! Il était avec lui dans le cours d'éducation civique ou elle était allée la veille. Elle l'appostropha donc ainsi :

"T'as faim le speudo-démon ?"

Puis en s'adressant au chien :

"Allez vient toutou !!"

Kyo nétait pas un peu, ni même beaucoup, il était totalement à coté de la plaque. Mais bon ça ne changea rien à l'atitude de Ruika qui restait souriante. Elle l'appellerait speudo démon si ça lui plaisait !

"T'es peut-être haut gradé mais pour moi t'es pas un démon, car je peut te dire que des démons j'en ai vue plus d'un et comparé à ses salops tu à presque l'air "gentil". Mon pouvoir qui est bien celui de guérir entre autre, ne guérira pas cette blessure et toutes celle antérieures à sa découverte. Et aujourd'hui j'ai juste décidé de voir comment réagirait ma blessure si je retirait le bandage. Pour l'instant ça va mais elle pourrait rapidement se déteriorer. Vraissemblablement ça ne guérira jamais tout à fait..."

Elle ferma la paupière juste histoire de lui montrer la sublime marque de brulure qui était encore visible et douloureuse aprés plus de quatre ans. Ce n'était pas beau à voir la cloque était encore pululante...

"Enfin bref, t'as fin ? J'ai de quoi à manger pour deux ou trois personnes."

Elle regatda Shiba et la caressa.

"Pour toi aussi ne t'en fai pas."

"Correction historique : les romains avait un point de vu subjectifs et s'ils ne considéraient pas tous les gaulois comme des barbares ils les décrivaient par opposition aux valeurs romaines... Et puis de toutes manière s'était les romains les barbares !!! Ils ont brulé la bibliothèque d'Alexandrie faisant régresser la civilisation et ils considéraient les femmes comme des objets !!!"

C'était le points de vue de Ruika, mais bon chacun pense ce qu'il veut des agissements des romains. Elle sourie de plus belle en entendant le gargouillemant montant du ventre de Kyo. Elle déballa donc un grand tupervare remplie de salade de riz accompagné de cruditées. Elle sortit aussi quatre pagninis. Dans tout ce qu'elle avait sortie il n'y avait aucune autre trace de viande que des oeuf et du fromage qu'elle déballa aprés avoir sortit un opinel de sa poche.

"Au fait moi c'est Ruika. Et je supose que ton nom n'est pas speudo démon ..."

Elle dit ça en lui tendant une assiette en plastique remplie de salade de riz.

Il allait durement le faire car Ruika était un vrai cordon bleu. Ce qui était encore un tterme assez peu glorifique pour la cuisine qu'elle faisait. Enfin presque tout le temps car il lui arrivait aussi de faire des truc bizare dans le style glaces à la mangue et aux épinar. Ce n'était pas particulièrement mauvais, c'était juste bizare. Elle faisait des mélanges débiles et de temps en temps trouvait quelque chose de bon dans le style carotte peulées avec du nutela...

"Enchantée au grand, sublime démon, je ne suis qu'une humble petite humaine."

On sentait le ton sarcastique de sa réplique, pour Ruika le jeune homme était autant un démon que les hommes qui l'avait martirisée des saints. S'il faisait partie de la race des démons, il n'en avait pas le regard. Et oui pour Ruika les démons n'étaient pas ce qui naissaient ainsi mais ceux qui le devenait, ou qui agissaient en tant que tel et pour l'instant Kyo n'avait pas était méchant avec elle. Elle se remit à regarder le paysage, se disant qu'il était bizare de rencontrer quelqu'un de sa classe dans un lieu aussi éloigné.

"Toi aussi tu es venu ici pour te balader ?

"Moi me balader ! J'aime marcher c'est ma passion. Marcher au azard se vider l'esprit en regardant défiler les payasages, marcher sans destination réelle."

C'était cela qu'elle aimer, marcher sans avoir autre chose à réléchir que de mettre un pied devant l'autre et de ne pas s'arréter à la première montée. C'était cela être en vie, un batement de coeur puis un autre, ne pas que son coeur arrête de s'agiter au premier obstacle. Boum...Boum... Un autre batement de coeur, un autre pas. Boum...Boum... Une autre seconde la rapprochant du moment ou elle devait arréter de marcher et s'assoir à jamais. Boum... Boum... C'était cela la vie, et c'était cela qu'elle aimait dans la randonnée. Elle aimait aussi cette libertée, elle avait le droit d'emprunter les sentier tout comme de couper à travers les broussailles. Il n'y avait que certains les col ou elle était obligée de passer pour atteindre une autre valée, et elle savait qu'elle devrait s'arréter sur le dernier col qu'elle emprunterait et ne le franchirait jamais.

"Je ne sais pas toi mais moi je n'arrête pas de marcher et pourtant je voudrais m'arréter. C'est ça être libre non marcher sans but et sans que personne n'essaye de nous retenir..."

"Tu as tord, mourir ne fais pas partie de la libertée, non mourrir est innéléductable. Certains sont libres de mourir quand ils le veulent, mais d'autres meurent sans le vouloirs. On ne choisie jamais la mort on la subie."

Et voilà Ruika se mettait à nouveau à briller comme un lanterne, ses propos elle les avait dits avec le coeur et ce n'était que sur le coeur qu'ils pouvaient s'écouter. La lumière qui iradiait Ruika s'affaiblit et fini par disparaitre, cepandant ses mots restaient et leur éco ne tarirait jamais.
La lumière avait totalement disparue quand Ruika se coupa une tranche de fromage et que par inadvertance elle se coupa le doigt. Elle grimaça mais se concentra dessuite sur la cicatrisasion de sa blessure dont les lêvres se refermèrent en quelques minutes.

Ruika tressaillit en poussant un cris d'effroit. Le garçon était totalement fou ! En fait non il était intelligent trés intelligent, c'est bizare comme la folie et l'intelligence se ressemble. Peut être n'avait-il pas réfléchie à ce qu'il venait de faire, et dans ce cas il perdait de sa superbe, mais si on s'enlevait la vue, on ne pouvait plus voir que le monde était laid. On ne voyait plus la noirceur du monde, mais hélas on ne voyait plus non plus les couleurs qui le rendent si beau et s'était dommage. Si le blanc était pur le noir ne l'était-il pas tout autant ? Aprés tout les deux couleurs étaient neutre, et si on ne pouvait plus rien voir d'autre que du noir on devait être heureux.

"Tu es sur que tu ne veux pas retrouvée ta vue ? Je peux essayer de te la rendre si tu veux."

Et Ruika l'est tout autant ! Car elle mit un paire de claque au garçon.

"Tu vas arréter tes conneries oui ? T'es vraiment un idiot ! Attends que je te soigne ça !! Et si tu bouges malheur à toi !"

Elle savait que si le garçon décidait de la tuer il avait toutes les chances de réussir et si ses instants étaient son dernier col au moins aurait-elle le plaisir de s'assoir dans ces lieux magnifique. Elle s'approcha du garçon aussi vite qu'elle pu, lui passant les mains devant ses orbites vide y imaginant des yeux et les nerfs qui les reliraient au cervo. Puis elle posa ses main sur l'endroit ou le brats du jeune homme s'était déchirait. Elle réva, recréant les tissus et les cellules du brat du j'eune homme ainsi que ses os ou tout autres composant pour qu'il en retrouve l'usage.

"Si tu crois pouvoir te permettre de te priver de ce que certaines personnes rêveraient d'avoir et bien ne le fais pas devant moi !!!"

"Berk !!!"

C'etait horrible de voir ça mais au moins il ne tuait pas d'animaux pour se nourrir c'était déjà ça, et pourtant Ruika trouvais cela dégoutant elle du détourner le regard. Oublier, vitte, oublier, oublier les souvenirs qui remontent, ne pas y faire attention. Ne pas se souvenir de sa chair brulant sous les cigarettes des barbares qui avaient tué ses parents. Ne pas se souvenir qu'ils avaient tués ses parents. Ne pas ce souvenir de la guerre. Trop tard. Elle tremblait légèrement et elle s'approcha du lac trouver une occupation la viderait de ses sombre pensées. Elle défit les noeuds de ses chaussures et les retira, suivient de ses chaussettes qu'elle laissa sue la rive avant de mettre un pied dans l'eau. Elle était glacée !

*Bien sur*

Pensa-t-elle en apercevant que c'était un névais qui allimentait le lac en eau et que par conséquence l'eau fut à peine plus chaude que la neige gelée qui le constitué. Elle s'apprétait même à voir des ppetits glaçons floter à sa surface tant l'eau était froide. Elle se vida de ses pensées en regardant les eau reflétant le ciel de ce lac remarquant pas la même occasion le mauvais temps qui arriverait en fin de journée. Grosse maline qu'elle était elle n'avait pas regardait la météo avant de partir et elle devrait visiblement rentrer avant d'atteindre le sommet de la montagne. Et merde ! Tant pis elle reviendrait ^^

Les nuages arrivèrent plus vittes que ne l'avait prévu Ruika qui faisait toujour trempette quand les premières goutes de pluies tombèrent et que Kyo tomba dans l'eau à coté d'elle. Ce qui lui décrocha un bref sourire, rare. Elle sortie de l'eau et rangea vite ses affaires et remettant ses chaussures. Elle n'avait pas oublié la présence de son K-way dans son sac et le passa en disant au garçon :

"Il y a un abrit de berger juste au dessus du lac, il est indiqué sur la carte, je ne sais pas toi mais moi je ne compte pas redescendre sous cette averse."

Sans dire un mots de plus elle se leva et pressant le pas elle arriva à l'abrit en dix minutes juste le temps d'être bien trempée. Elle aussi éternua. L'abrit était sommaire, quatres mur blanchies à la chaux sans aucunes fenêtre ce qui faisait que la pièce était plongée dans l'obscuritée. Elle remarqua quand même un petit poile/cheminée et un lit superposé avec de fin matelats de mousses. Sous les lits elle trouva des morceaux de gené et des boue de bois secs qu'elle mit dans le poile/ cheminée avant les enflammer averc un briquet. Et voilà il faisait meillieur et le feu éclairer la pièce unique.

*Brrr ! Je suis trempée saloperie de temps !!*

[HJ : Byzare... Ce refuge ressemble à celui des bézines ou j'ai campé cet été, bizare... XD]

Le garçon se vétit et Ruika osa à nouveau poser son regard sur lui, elle remarqua alors qu'il avait un pif qu'on aurait dit un paf, en d'autres termes que le garçon était enrumé... Elle utilisa donc son pouvoir et s'acharnant à trouver ce qui n'allait pas le corrigea. margret le feu il faisait froid et elle grelottait. C'était ça le problème dès qu'il faisait à peine froid elle se mettait à trembler comme une feuille. Elle avait gardée en elle la chaleur de son affrique natale. Elle rajouta une branche dans le feu elle commençait à avoir peur. Quand la pluie s'arrèterait-elle ? Et si l'orage se levait ? Elle avait peur de l'orage et comme si celui-ci l'avait entendut le tonnère gronda et Ruika laissa sortir un japissement à mi-parcour entre le cri de terreur et de suplice. Elle tremblait maintenat trés visiblement.

"Qu'est-ce qu'on va faire ?"