Voici Akuu ! [terminé]

Votre personnage:

Nom: Vous savez ce que cela fait de ne pas connaître son nom ? C'est comme perdre une partit de son identité. Alors, pour combler ce vide qui m'habite, j'ai décidé moi-même de mon nom. Kajin'.
Prénom: Mon prénom. C'est la seule chose que je n'ai pas oublié et qui me rattache a mon passé qui m'est inconnu. On m'apelle Akuu.
Age: Je dois environ avoir 17 ans. Je n'en suis pas certaine.
Sexe: Je dirais une fille.
Orientation sexuelle: Aucune idée. Je n'ai pas encore eu l'occasion de tenté cette expérience.

Caractère: Hm, comment décrire mon caractère... Je ne me gêne pas a dire ce qui me passe par la tête. Je peux me moquer éperdumment des gens sans m'en lasser. Mais, lorsque je le juge nécessaire, je m'abstiens de ce genre de chose. J'en suis consciente lorsque je suis face a quelqu'un de mon niveau. Je fais preuve d'intelligence lorsque la situation l'exige. Je ne dis pas de paroles ou pose des gestes sans y avoir réfléchie deux fois, analyser les possibilités qui pouvaient suivre. Cependant, je me laisse facilement emporté par la colère. La patiente n'est pas non plus mon point fort. Mais, je préfére rester dans l'ombre, seule avec ma solitude. Je n'aime pas la compagnie. Selon moi, les gens sont encombrants, les amis inutiles. Je n'ai besoin que de moi seule. Je ne suis pas une personne a fréquenté en gros.

Qualités: Intelligente, astucieuse, franche, travaillante, lucide.
Défauts: solitaire, moqueuse, maladroite, impatiente.
Aime: être seule, les fraises, les étoiles, la forêt, les endroits sombre, le silence.
N'aime pas: la compagnie, les chiens, le bruit, les aiguilles, le feu.

Physique: Mon corps est objet de convoitise mais, malheureusement, inaccessible pour ceux qui le désir. Une peau pâle et douce comme de la soie malgré les longues années où mon corps a horriblement souffert. Une longue chevelure couleur blé cascadant jusqu'à mes frêles épaules contrastant avec mes yeux d'un bleu pâle, se rapprochant du gris acier. Un petit nez au milieu d'un visage sans imperfections et aux traits fins. Des lèvres douces mais, habituellement, figé dans un sourire ironique. Assez grande et mince pour mon âge. De belles formes créant le désir pour les hommes et la jalousie pour les femmes. Malheureusement, des cicatrices parcourent mon dos, me retirant un peu de mon charme. Mais, je ne m'en plains pas. N'est-ce pas là le prix a payer pour un corps sans défaut ?

Tenue vestimentaire: Tenu vestimentaire, hein... Je n'ai pas grand chose a dire. Habituellement, je ne sors que la nuit, portant des vêtements de couleur sombre, comme le noir, pour rester discrète. Et j'y arrive très bien. Mais, j'ai une préférence pour tout ce qui met en valeurs mes formes, telle les décollettés ou des mini-jupes, enfin, des trucs du genre. Mais, sous ces vêtements, se cachent quelques armes pour me défendre. Vous comprenez. Mais, malgré moi, je suis bien maladroite et me blesse. Donc, vous me verrez souvent avec quelques bandages ici et là pour dissimuler mes blessures a la vue de tous, histoire de ne pas attiré l'attention. J'ai fait le tour, je crois.

Histoire: Mon histoire est bien longue. Comme vous le savez, le destin est capricieux et sans pitié. Bien des choses me sont arrivés. Des choses qui m'ont causé bien des souffrances. Mes malheurs ne se comptent plus tellement ils sont nombreux. Comment vivre lorsque mon corps, ainsi que mon esprit a été brisé ? J'avais perdu l'envie de vivre. Je n'était plus qu'une coquille vide. Jusqu'au jour où tout cessa, a mon plus grand bonheur. Mais il y avait un prix a payer. Mes souvenirs...

1982, 2 Avril.

Une femme criait sa douleur, ses cries se répercutant sur les murs nue de la pièce jusqu'à dans les couloirs plongé dans les ténèbres. Une simple bougie illuminait la pièce qui était des plus lugubre, éclairant par la même occasion le visage d'une femme déformé par la souffrance. Elle était allongée sur un lit dès plus inconfortable mais, ne s'en souciait pas. Deux hommes se tenaient dans un coin plongé dans le noir, observant simplement les faits et gestes du médecin qui encourageait et aidait la femme a mettre au monde son enfant. Plusieurs heures étaient déjà passé, pour la femme, cela faisait une éternité. Un autre homme était assis sur une chaise près du lit, serrant la main de la jeune femme blonde. Il la regardait dans les yeux et lui murmurait des mots de réconfort, partant sa douleur. La femme lacha un nouveau crie, poussant. La tête du bébé sortit, dévoilant également son cou qui était étranglé par le cordon ombilical. Alors, le médecin s'écria.

- Il suffoque !

Avec l'énergie du désespoir, la jeune fille qui sortait a peine de l'adolescence donna une autre poussée. Le bébé sortit, se retrouvant entre les mains du médecin qui dénouait précipitament le cordon de son cou pour lui permette de respirer pour la première fois. Les pleures de l'enfant envahit la pièce, autant par la surprise que par ces poumons qui lui brûlait. Malgré les pleures qui écorchaient les oreilles de l'homme et de la femme, ils furent tout deux soulagé de les entendre. Le bébé, leur enfant vivait. Et tout était fini. Le médecin nettoya l'enfant dans une cuvette placé a cette effet avant de l'enrouler dans une couverture chaude pour le tenir au chaud avant de vérifé son sexe. Il déclara alors.

- C'est une fille.

Malgré sa fatigue, la jeune femme murmura dans la silence qui suivit au prix d'un énorme effort.

- Je veux la voir, je veux voir... Akuu.

Akuu, c'était le nom que ma mère m'avait donner. Le médecin ne se fit pas prier deux fois pour me tendre vers ma mère. Celle-ci me prit délicatement dans ses bras, mais avec une telle faiblesse que tous craint qu'elle ne me laisse tombé. Heureusement, leurs craintes ne se réalisa pas. Rapidement, je me retrouva blottit dans les bras réconfortant de ma mère, celle qui m'avait accordé la vie. Je cessa de pleurer lorsque ma mère posa sa main sur ma joue pour la caresser. Ce geste était remplie d'une telle tendresse. Mais, soudain, je fus arraché a ma mère pour me retrouver entre les mains d'un des hommes qui avait observer jusqu'à présent l'accouchement. Mon père se leva et réclama de me rendre a ma mère, en vain. Celle-ci se mit alors a crier d'une voix remplie de colère.

- Rendez-moi mon enf...

Un coup retentit, puis un deuxième suivit d'un corps qui s'effondrait au sol. Ma mère ne fini jamais sa phrase, se retrouvant en une fraction de seconde de l'autre côté, mon père subissant le même sort. Effrayer par le bruit et me sentant soudainement seule, le lien invisible me reliant a mère venant de disparaître, je me mis de nouveau a pleurer. L'homme qui me tenait dans ces bras se mit a me bercer pour tenter de me rassurer tandis que le second abaissait son arme. Sa voix froide s'adressa au médecin qui était rester de marbre devant ce meurtre.

- Vos fonctions ne sont plus nécessaire, Docteur Wells.

D'un simple hochement de tête, celui-ci se retira, sortant par l'unique porte de la pièce pour se rendre on ne sait où. Tandis que moi, je me calmais lentement, puis le silence. Je m'endormis doucement dans les bras de l'homme qui me berçait, un rien rassurer malgré cette présence qui m'était inconnu. Les deux hommes sortir de la pièce tandis que d'autres hommes entraient pour faire disparaître les traces du meurtre. On m'emmena dans une autre pièce où un homme portant une blouse blanche et des lunettes m'examina durant plusieurs heures. Puis, il afficha un air satisfait, me reposant dans les bras de l'homme qui m'était a présent rassurants.

- Parfait.

Ce seul mot cella mon destin. Mon futur était tout tracé.

1987, 24 décembre

Cinq ans était passé depuis le jour de ma naissance et, évidement, du meurtre de mes parents. L'homme qui, lorsque je n'étais encore qu'un bébé, m'arracha des bras de ma mère recut l'ordre de se charger de moi pour les années a venir. La mission semblait facile mais, il n'avait pas prévu qu'il s'attacherait si facilement a moi. Donc, il veilla a mon éducation et que je ne manque de rien. J'étais une gamine intelligente et bien élevé, débordant de joie. J'avais un toit et de la nourriture sur la table, ainsi que quelqu'un qui veillait a mon bonheur. J'étais heureuse, mais bien naïve.

C'était la veille de noël. Je me tenais a la fenêtre du salon, observant les flocons blancs qui tombaient du ciel pour recouvrir les rues et les toits des maison d'une couche de neige. Je jeta un coup d'oeil au sapin de noël près du foyer. Il y avait une tonne de cadeaux sous le sapin, prêt a être déballé pour dévoilé leur trésor. La plupart était pour moi, j'avais hâte de les ouvrir pour m'amuser avec mes nouveaux jouets. Mais, je reporta bien vite mon attention dehors. La neige, les cadeaux, ce n'était pas ca qui m'interessait pour le moment. Je surveillais le retour de l'homme que j'apellais "papa". Cela faisait une bonne vingtaine de minutes qu'il aurait dû être rentrer. Je m'inquiètais. Habituellement, il arrivait toujours a l'heure et ne me laissait jamais seule pas plus d'une heure. Que lui était-il arrivé ? Où était-il ?

Soudain, une voiture tourna au coin de la rue. Je reconnu sa voiture ! Je quitta la fenêtre et sortit du salon en courrant, me précipitant vers la porte d'entrée. Je l'ouvris en grand, bondissant dehors pour courrir vers la voiture qui venait de se stationner dans le garage de la maison. La portière s'ouvrit pour dévoilé mon père que j'aimais tant. Je courru vers lui, sautant dans ces bras. Celui-ci m'enlacant et me serra contre lui. Je noua mes bras autour de son cou, restant un moment silencieuse a profiter de la tendresse qu'il faisait preuve et du soulagement qui m'étreignait. Soudain, il murmura a mon oreille de sa voix qui m'était réconfortante.

- Tu vas attrapé froid. Rentrons.

Je remarqua alors que je n'avais pas mis de manteau pour me protéger du froid de cette nuit d'hiver. Je ressentis la morsure du froid contre ma peau et je me mis a trembler. Mes dents commencèrent a s'entrechoquer pour claquer. Je n'arrivais pas a controler mes tremblements. Je hocha vivement la tête, me serrant contre lui pour tenter de trouver de la chaleur.

- O-oui.

Il m'emmena a l'intérieur, fermant la porte d'entrée d'un coup de pied avant de me déposé sur le canapé près du foyer. Il m'enroula dans une couverture, s'assurant que j'étais bien au chaud avant de se débarasser de son manteau. Je l'observais faire tandis que mes tremblements cessaient. Puis, il s'assit a mes côtés, glissant son bras autour de mes frêles épaules pour m'attiré a lui. Je leva mes grands yeux bleus vers lui.

- Papa, pourquoi n'étais-tu pas à l'heure ?

Il baissa son regard vert émeraude vers moi. Il semblait hésité a me répondre.

- J'ai eu un... contre-temps. Ne tant fait pas. Mais, que t'ai-je déjà dit ? Ne m'apelle pas papa.

Je lui adressa mon plus charmant sourire mais, ne répondit pas. Évidemment, je l'apellerais toujours ainsi malgré ces reproches. Je ne comprenais pas pourquoi le fait que je l'apelle "père" le gênait. C'est lui qui m'avait élever, qui me nourissait, qui s'occupait de moi depuis que j'étais bébé. Mais, j'ignorais que ce n'était pas mon vrai père ni même que c'était lui et son compagnon qui avaient tué mes parents. Il m'avait simplement expliquer que ma mère était morte a l'accouchement et qu'il était ma seule famille. Je n'avais jamais poussé la question plus loin puisque son explication m'était suffisante. Soudain, un cogna a la porte. Mon père se leva pour aller ouvrir. Rapidement, il revint avec un second homme. Je souris alors et me leva pour courir vers l'invité. L'homme était celui qui avait tué a l'aide d'une arme mes parents, mais pour moi, il était mon oncle.

- Oncle Max !

Celui-ci m'adressa un sourire avant de me pousser doucement vers le canapé pour que je me rassis. Mon pere s'assit de nouveau a coté de moi, et mon oncle devant nous, assis dans l'unique fauteuil. Sans plus attendre, il s'adressa a mon père.

- La petite est assez grande. Il est temps.

Je fronçais les sourcils, ne comprenant pas. Tandis que mon père affichait un air inquièt, il me prit la main pour la serrer. Il ne répondait rien a mon oncle. Celui-ci fini par se lever pour s'approcher de moi, il sortit de sa poche une seringue. Je restais immobile, fixant d'un regard interrogateur mon oncle. Je me laissa faire lorsqu'il me prit le bras, puis me piqua. Quelque minutes passèrent, puis, je me sentis horriblement fatigué. J'avais envie de dormir. Je ne me posa aucune question. Je me laissa allé au sommeil.

1995, 26 juillet

Sept ans était passé. Je m'étais reveillé dans une pièce au mur blanc dénudé de meubles. J'étais attaché sur une table, ne pouvant bougé. Je n'avais jamais revu mon père ni mon oncle. Peu après, on commencant a faire des expériences sur moi. Les visages des inconnus était nombreux autour de moi. Je n'étais jamais seule, on ne me laissait jamais en paix. Seule la souffrance était ma véritable compagne. Ma tête me brûlait, mon coeur se débattait dans ma poitrine, prête a exploser, mon sang bouillonnait. J'avais mal. Mon corps avait mal. J'avais toujours mal. La douleur ne cessait jamais. Pourquoi moi ?! Pourquoi m'avoir arraché a ceux que j'aimais ?! Seule la colère, le désir de vengeance m'empechaient de sombré dans la démence. Puis, un jour...

Un médecin s'approcha de moi mais ne me jeta meme pas un regard. A croire que je n'étais rien. Il regarda les machines sur lesquels j'étais branché, prenant des notes de mon état, de l'avancement du projet. Puis, il se retira tandis qu'un second venait me piquer. La douleur se fit plus intense dans ma tête. Je serrais les dents pour retenir mon crie de douleur. Cela faisait combien de temps que j'étais ici ? Que je n'avais pas revu le jour ? Que je n'avais pas senti la chaleur du soleil contre ma peau ? Sentir le vent dans mes cheveux ? Cela faisait bien longtemps. Mais, aujourd'hui, je voulais que cela change. Ma douleur fut remplacer par ma colère qui était immense. Durant les expériences, j'avais acquis un étrange pouvoir. Et j'allais m'en servir pour la premiere fois. Les machines sur lesquelles j'étais relier se mirent a exploser. Les médecins paniquèrent aussitot devant la brusquerie des choses.

Famille: Pas que je m'en souvienne.
Souvenir hanté: Aucun, heureusement.
Secret: Aucun.

Pouvoir: Mon pouvoir est l'informatique. Il m'est facile de trouver les codes de sécurité, chercher de l'information ou faire sauté un ordinateur. Mais, mon pouvoir ne se résume pas qu'a cela. Le cerveau peu être considérer comme un ordinateur. Je peux fouiller, détruire ou modifier les souvenirs de ma victime a ma guise. Ou bien, je peux détruire le cerveau comme je peux détruire le disque dur d'un ordinateur. Je peux aussi controler l'individu en question. Évidemment, vous pouvez me combattre, créer une "barrière" psychique a l'aide de vos souvenirs les plus forts ou de vos émotions et je ne pourrais pas infiltrer votre esprit.

Autres: Rien.

Vous:

Pseudo(s): C'est un mystère.
Age: 14 ans
Temps sur le forum: Seul le temps nous le dira
Niveau de RP: A vous de me le dire.

Où avez-vous connu le forum? : Par ma Mizu d'amour !

Bienvenuuue mon amie !

Contente que tu aies rejoint.

Mumuses-toi parmi les fous !^^

Bienvenue ^^

Amuse-toi bien parmis nous !!!

J'aime bien le début de ta fiche...=) Bon courage pour la suite !!!

Bienvenue

Bienvenue chez nous !!! Le début de ta fiche ma donnée la chaire de poule ... J'ADORE SE GENRE DE TRUCS !! Comme toutes les psycopates de se monde je pense ... bonne chance pour la fin de ta fiche !

Tiens, j'avais loupé une présentation =)

Bienvenue à toi

Belle fiche

J'espère que tu t'amuseras parmi nous

Je te souhaite de bon rp

Bonne chance

Mumuses toi parmi les fouuuuuuuuuuuuuus

Personne ne t'a parlé de moi ? O_o

Je suis déçue, mes gens

Bon, bah, tu vas apprendre à me connaitre

Comment ça "malheureusement pour elle" ><

Bande de méchants

Je suis starbée folle débile

ET ALORS ?????

Fière de l'être

MOUHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA

I LOVE CRAZYYYYNESSSSS

I LOOVE MEEEEEEEE *se fait écraser par le bus*

Tiens, le dieu de la connerie est en colère

*Se prend un piano dans la tronche*

Aie, confirmation >>

Bref, mumuses toi =D

Mirchiiiii beaucoooooup !

Mais... Arf, j'ai plus de place pour mon histoire xD
Alors, je continue ici !

[suite]

Mais, un seul compris ce qui ce passait. Il gardait son sang-froid. Il s'approcha de moi avec une seringue pour me calmer. il attrapa mon bras. Je tourna aussitot les yeux vers lui et infiltra mon esprit dans le sien. Son regard devint fixe, puis il fut secouer de spasmes avant de s'écrouler au sol, mort. je n'avais aucun regret de l'avoir tué. Lui, avait-il eu des regrets a me faire souffrir ? Non, absolument pas. J'allais me venger, ils allaient tous le regretter. Une fumée noir remplie lentement la pièce. Bientot, les corps étaient flou. Mais, personne ne pouvait s'échappé. J'avais verouillé la porte de l'unique porte grace a un ordinateur. Bientôt, les lanières qui me retenaient prisionnière se détacherent. Je m'assis puis me leva, mais je dûs m'appuyer sur la table pour ne pas perdre l'équilibre. Cela faisait après tout 7 ans que je n'avais pas marcher.

Je prommena mon regard de glace dans la pièce, voyant les médecins tenté d'ouvrir l'unique porte, certains étaient déjà en train de suffoquer par la fumée. Je fis quelque pas, puis trouva un certain équilibre. Je m'apparas alors d'une chaise et cassa la patte. Je regarda mon arme improvisé, je pourrais tué facilement avec la pointe du morceau de bois. Je me tourna alors vers les hommes, la colère déformant mon visage. J'allais enfin me venger de ce monde. Je m'approchais d'un pas lent. Un médecin se tourna, une main plaqué sur son nez pour respirer, pour me voir, moi et mon arme. Aussitôt, il s'élanca vers moi et me saisit le poignet. D'un coup de poing sur le nez, je me dégagea. Par la suite, je leva mon bras puis abattit de toute mes forces dans le torse de l'homme. Celui-ci s'écrasa au sol dans un crie muet, mort, le "pieux" planté planté profondement dans le torse. Je m'accroupis pour fouiller sa blouse et trouva ce que je cherchais. Une arme a feu.

Je me redressa et pointa mon arme sur les autres médecins. Certain fixait le corps inerte a mes pieds, étant la première fois qu'il voyait quelqu'un mourir. Tandis que d'autre fixait mon arme. Une dizaines de coups retentit dans la pièce, suivit des corps qui s'effondraient les uns après les autres. Finalement j'abaissa mon arme lorsque tous fut mort. Une flaque de sang se repandit rapidement a mes pieds. Je jeta l'arme vide au sol puis me dirigea vers l'ordinateur, foulant les corps et marchant sur le sang pour me rendre jusqu'à celui-ci. Je posa finalement ma main sur le clavier, puis la porte verouillé jusque là s'ouvrit. Je ramassa une autre arme chargé et sortit de la pièce. J'étais enfin libre ! Un sourire étira mes lèvres, mais il s'évanouit bien vite. Des hommes armé se dressaient devant moi, arme au poing. Un coup retentit, suivit de la douleur. Mon crie de douleur se répercuta sur les murs.

- Stop, bande d'imbéciles ! Elle vaut bien plus que vos minables vies réunni ! Je trancherais moi-même la tête de celui qui osera encore tirer.

Je porta ma main a mon épaule avant de regarder mes doigts. Du sang... Je saignais. J'avais été touché a l'épaule. Je serra les dents par la rage. Je tourna mon visage et éteint l'interrupteur pour la lumière. Le couloir fut plongée dans les ténèbres. Par la suite, j'appuya sans cesse sur la gachette, tirant devant moi. J'entendais les cries des touché, mais je n'arrêta que lorsque je n'avais plus de balles. Alors, j'alluma la lumière pour voir l'étendu des dégâts. Une dizaines étaient touché, mais ils tenaient tous debout sauf un qui était étendu au sol, mort. Je voyais dans leurs regards l'envie de tirer pour m'abattre, leurs mains crispé sur leurs armes, prêt a appuyer pour m'achever. Mais, ils n'en firent rien. Je les fixais d'un air de défis. Quand, soudain, je recus un coup violent sur la tête. Je perdis contact avec la réalité, sombrant dans les ténèbres de l'inconscience.

Lorsque je me reveilla. J'étais dans le noir. Je ne pouvais voir l'endroit ou je me situais. Cependant, mes bras étaient attaché par des chaînes au-dessus de ma tête. J'avais beau me débattre, je ne pouvais me libérer. Heureusement, j'arrivais a touché le sol. Des murmures me parvinrent, lointain mais bien réelle.

- Nous avons réussi. Le projet est une réussite.

- En effet, mais elle a tué nos plus compétants médecin et scientifiques. Elle doit être puni.

- C'est vrai. Marcus s'en chargera.

Puis, une porte s'ouvrit. Je fus éblouis par la lumière, fermant les yeux pour ne pas être aveuglé. Je les rouvris peu après, m'habituant rapidement a la luminosité de la pièce. Un homme se tenait là. Il avait les cheveux grisonnants, une belle carrure et une musculateur impressionnante. Malgré son âge avancé, il était en une excellente forme. Mais, ce n'est pas cela qui me frappa le plus. Ce fut ces yeux, ces yeux couleurs verts émeraudes. Son visage avait changé, mais c'était bien lui. C'était... mon père. Je me sentis défaillir. Des larmes tièdes se mirent a couler sur mes joues jusqu'à mon menton. Ma gorge était sèche et l'émotion étreignait ma poitrine, mais je murmura faiblement.

- Papa...

Aucune réaction de sa part. En faite, son regard était vide d'émotions. Sans vie. Que lui avait-on fait pour qu'il soit dans cette état ?! Il prit lentement un fouet qui était accroché au mur avant de le dérouler puis le faire claquer. Je le fixais, n'arrivant pas a croire ce qui allait suivre. Il s'approcha pour me tourner, puis déchira mon vêtement pour dévoilé mon dos mis a nu. Un frisson me parcourut a l'air glacé. J'étais impuissante face a lui, ou plutôt, je n'opposais aucune résistance. Cela était tellement un choque pour moi. Puis, je l'entendis s'éloigner. Un claquement, puis une brûlure dans le dos. J'avais l'impression qu'au appuyait un fer chaud dans mon dos, contre ma chair. Je serra les dents, retenant le crie qui voulait franchir mes lèvres. Il me fouetta ainsi une dizaines de fois avant que j'abandonne, criant, gémissant, pleurant ma douleur.

- Papa ! Arrête ! J'ai mal ! PAPA, ARRÊTE !

Malgré le fait que je le suppliais, il n'arrêta pas. Continuant encore et encore. Je finis par perdre de nouveau connaissance. C'était trop pour moi. Je ne pouvais supporter d'avantage.

2004, 3 octobre.

Le temps avait passé depuis cette journée qui fut la plus douloureuse pour moi. Les marques de fouet n'étaient plus que des cicatrices qui recouvraient mon dos. D'autre avait suivi causé par des coups de feu, des coups de couteaux, et encore par le fouets. On me punissait a chaque fois que j'étais désobéissante. Mon corps était brisé ainsi que mon esprit. Je n'éprouvais plus le désir de fuir, simplement d'obéir pour ne pas devoir subir la colère de mes bourreaux. Je n'avais plus qu'une seule fonction. Obtenir les informations désiré, peu importe la facon dont je m'y prenais. Et c'est ce que je faisais, jour après jour.

Aujourd'hui, un homme refusait de dévoiler des informations top secret du gouvernement. On m'avait mis en charge de découvrir ceux-ci. Deux hommes me conduisait a la cellule de l'homme. Chacun pointaient une arme sur moi et j'avais des menottes, comme si j'étais une prisionnière. En faite, tout cela servait a m'empecher de m'enfuir si je tentais de m'avoir. Inutile vu la docilité dont je faisais preuve. Cependant, personne ne voulait prendre de chance. Avec le pouvoir que j'avais, il m'aurait été facile de me débarasser de mes gardes et de m'enfuir de cette endroit maudit. Mais, je m'y refusais. Seule la peur de souffrir m'empêchait d'agir.

Finalement, on arriva devant une porte. L'un des gardes l'ouvrit pour me poussé a l'intérieur avant de refermer la porte. Je parcourus la pièce du regard, puis me dirigea lentement vers la table et deux chaises. L'une d'elle était occupé par l'homme en question, celui-ci était attaché. Je passa a côté d'un homme qui était au sol, le regard vide d'expression. Je ne me posa aucune question. Ce n'était mon rôle de me poser de question. Je faisais mon job, point finale. Je m'assis en face de l'homme et le détailla un moment. Il avait une chevelure aussi sombre que le charbon, des yeux noisettes où pétillait une lueur de malice, une fortte carrure, assez grand. Je ne pouvais voir d'avantage, une unique chandelle posé sur la table illuminant la pièce.

- Donnez votre main.

Il secoua la tête en signe de refus. Je plissais le nez et reformula l'ordre. Il refusa obstinément. Je lacha un soupire lasse. Pourquoi combattre l'inévitable ? Je tappa un bref instant le sol froid de mon pied nu. Puis, je tendis la main vers la joue de l'inconnu. La distance qui les séparait n'était pas bien grande. Je frola la joue de l'homme et inflitra aussitôt son esprit. J'entendis des mots, je vis des images, cherchant l'information. Puis, je me retira et laissa retombé mon bras. J'avais trouvé ce dont je cherchais mais... j'avais oublié. Je fronca les sourcils, troubler. Habituellement, ce que j'entendais et que je voyais de mes victimes restaient encré a moi. Mais là, j'avais oublié. Je ne pouvais trouvé d'explications. Je leva mes yeux cerné vers l'homme qui affichait un sourire satisfait.

- Tu es bien jeune pour avoir un contrôle parfait sur ton pouvoir.

Je le fixa dans les yeux, a la fois troublé et surprise par ces propos. Mais, je tenta de nouveau l'expérience. Je posa de nouveau ma main contre la joue tiède de l'homme, infiltrant de nouveau son esprit. Mais, quelque chose m'empechait de fouiller ses souvenirs. Il résistait ? Comment ? C'était la première fois que quelqu'un lui résistait de cette façon. Je fronca les sourcils, tentant de trouver une ouverture a cette obstacle. Il suffisait qu'il manque de concentration pour qu'il y est une brèche. Je balanca mon pied pour qu'il tappe contre la jambe de l'homme. Mais, cela n'eut aucun résultat. Aucune brèche. Je me retira enfin, abandonnant.

- Tu m'avais laissé faire ?

C'était la seule explication logique du fait que, la premiere fois, j'avais pu fouiller ces souvenirs. Il m'avait volontairement laissé faire. Dans quel but ? Évaluer mes capacités ? Peut-être, peut-être. Peu importe. Je devais a tout prix réussir si je ne voulais pas subir la colère de mes bourreaux. De plus, ces informations étaient vitales, je n'allais sans doute pas sortir indemne de ma punition. Je pinca des lèvres a cette idée. Tandis que l'homme souriait toujours.

- Exactement. Mais, dis-moi, pourquoi ne te serres-tu pas de tes capacités pour fuir ces lieux ?

Mon visage se durcit. Je n'avais pas a lui donner d'explication. Mais, il poursuivit.

- Ensemble, on aurait une chance de fuir.

Je le fixa un long moment. Fuir ? Non... non, j'avais peur qu'il me retrouve et qu'il me fasse encore du mal. J'ouvris la bouche pour repondre mais, je fronca les sourcils. Soudainement, j'avais oublié pourquoi je craignais tant de partir. J'avais beau chercher, j'avais oublié. Je regarda l'homme devant moi, hésitante. C'est vrai, je pouvais partir si facilement. Personne ne me résisterait.

- D'accord.

Par la suite, je défis ses liens. Sans perdre une minute, il ouvrit la porte d'un bon coup de pied. Tandis que moi, je me débarassa de mes deux gardes. Leurs corps sans vie gisaient a présent au sol. La suite se déroula rapidement. Je deverouillais les systèmes de sécurité tandis que l'homme se débarassait des hommes armés qui se dressaient sur notre chemin. Enfin, je finis dehors. Malgré ma joie, je me sentis défaillir devant mon monde qui avait tant changé. Je suivis prudemment l'homme qui m'entraina dans une ruelle. Là, il se tourna vers moi et me toucha simplement le front du bout des doigts. Je l'entendis murmurer un "merci" avant que je perde connaissance. Mon corps s'écroula au sol tandis que l'homme quittait les lieux sans plus attendre. Par la suite, une vieille femme me trouva. Elle me prit sous son aile. Me réappris ce que j'avais appris autrefois car, étrangement, je n'avais plus aucun souvenir de mon passé. peut-être était-ce mieux ainsi. Mais, a la mort de la vieille dame, je chercha un nouveau refuge. Je demanda de l'aide a la police qui découvrir que j'avais une étrange capacité. Là, ils m'envoyèrent dans un bien étrange pensionnat.

J'adre trop ton histoire !!!^^

(Je tiens à préciser que Akuu, dans la vrai vie, est ma meilleure amie !)

Merci encore pour cet accueil =D

Bienvenue ^^