Histoire d'un rat...

center]Votre personnage:

Nom: Matsumoto

Prénom: Senzo

Age: 18 ans

Sexe: masculin

Caractère: Senzo est insensible aux autres et est extremement renfermé sur lui même. Il cache, derierre son visage plein de haine ou de mèpris, une peur insurmersible de tout ce qu'il entoure. Il tente tant bien que mal de ne pas penser, Ce qu'il ne rèussit qu'à moitié... La moindre des choses est de dire qu'il n'a jamais eût une vie comme les autres, il a donc enormement de mal à s'adapter à une vie étudiante... A cause justement de ce passer, il a un grand probleme mental... Comme certain sont accro à la cocaïne, ou à l'héroine, lui est accro à l'adrenaline, à la violence et au sang.

Physique: Senzo a un visage bien particulier, bien que pas particulierement beau... En effet, son teint blanchâtre et ses yeux d'un rouge sanguin font de lui un albinos... Il porte sans cesse des lunettes, bien qu'il n'ait pas de gros problemes aux yeux, simplement pour attenuer cet air de "buveur de sang", ce qui est, au fond, le bon mot pour le désigner. Derierre ses larges habits, il paraît très frêle... Mais ses nombreux voyages avec son père l'ont largement maintenut en forme. Il ne porte pas de tenu particuliere, ne faisant pas vraiment attention à son aspect physique.

Famille: Un frère et un père... au passé.

Histoire:

Je ne pense pas qu’il y ait un Dieu sur cette terre. Dieu empêcherais les démons comme moi de voir le jour… Tel père, tel fils, voyez-vous. Et moi, on m’appelait « fils de mort… » Je ne le reniais pas. J’étais le fils de centaines de conflits, de guerre… J’étais le fils du mal. Mais après tout… Pourquoi pas ? J’ai toujours vécu avec mon père, et mon frère. Nous étions originaire du Japon, mais rien ne le laissait supposer… A vrai dire, nous étions originaire d’un peu partout. Nous étions en constant mouvement. Le métier de mon père nous y forçais. Je n’ai jamais connu ma mère. Mon frère refuse d’en parler, et mon père encore moins. Je vivais là, dans cette caravane, sans poser de questions, et de me contenter de ce qu’on me disait, et de ce que je voyais. Mon père était quelque un d’insondable, calme, mais gardait éternellement les sourcils froncés, comme si le remord et la peine le tenaillais à chaque seconde… Mon frère lui, était extrêmement instable. Accro à la cocaïne, il tremblait sans cesse et était capable de tout. Mais il n’était ralenti par aucune crainte et protèges mon père. Le protéger de quoi ? De qui ? De ses cher clients… Trafiquant d’armes. C’était son job. Il achetait, vendait, perpétuait les guerres, et ne reculait devant rien… Il appelait par son prénom chacun des grands dictateurs, terroristes… Mais ce n’était pas un homme détestable. Je n’ai jamais compris pourquoi il ne s’était pas débarrassé de moi. Sans doute que rester éternellement seul lui semblait difficile… Pour un homme distribuant la mort pour quelques dollars, pesos, peu importe la monnaie… Peut-être que rester seul était signer son arrêt de mort. Notre destination général était l’Afrique. Onze conflits… Nous étions en 1996, à l’époque, l’Afrique libérait plus de sang que de pétrole. FRU, Soudan, Côte-d’Ivoire… Mais le sang ne coulait pas tout seul. L’Afrique était si riche en diamant, pétrole ou autre ressource que le prix n’avait jamais été un problème. Autant en profiter, non ? Je n’ai jamais eût de remord. Je n’ai jamais eût de conscience. La vie banal des autres enfants me semblait impossible, comme un conte… Mon père n’était pas non plus un père modèle… Jamais, là où nous dormions, il ne m’a interdit de sortir. Il était toujours trop saoul pour interdire quoi que ce soit… Ainsi je sortais, regardais, écoutais les coups de feux, et les cris de douleur au loin… J’ai vu tellement de gens mourir en l’espace de dix ans, tellement de sang, que mes yeux en rougirent… Mon teint en blêmis… A jamais. Plus que jamais, j’avais l’air d’un buveur de sang. Ce que j’étais. Chaque chose que j’avalais, que je buvais, était payer par le sang. Le mot amour m’était inconnu. Même si j’étais prêt à mourir pour mon père et mon frère, c’était parce que c’était tout ce que j’avais… Et c’est en cette année de 1997, que les premiers symptômes ont commencer. J’avais, à l’insu de mon père, appris à tenir une arme. Armer, viser, tirer. Mais je n’avais jamais tuer. Pas encore. 5 juillet 2008. Jamais je n’oublierais ce jour. Lorsque, sans raison, le soldat du FRU leva son arme sur mon père… Mon corps réagis tout seul. Ma main se plaça devant lui. La balle atteint ma main. En une fraction de seconde, j’avais réagis. Mon frère leva son arme vers le soldat en hurlant. Je ne comprenais pas ce qu’il disait. J’hurlais encore plus fort. C’était la première fois que je me faisais tirer dessus. Pour mon père, c’était la dernière fois. Il avait enfreint la première règle: ne jamais se faire tirer dessus par ses propres armes. Mon père nous hurla de courir… Nous ne nous fîmes pas prier. Lorsque mon frère mit le contact, on entendait mon père hurler… Mais nous étions loin. Bien loin. Aucun de nous ne parlât pendant le chemin du retour. Moi, je mettais injecter une dose incroyable de morphine et mettais bander la main. Lui, il avait sniffer plus de coke que jamais depuis ces dernières années. Le lendemain, je trouvais mon frère assis, sur une chaise de la cuisine de la caravane. Face à un magnum 360. Mon père (et la cocaïne) avait toujours était là pour lui éviter de sombrer dans les tréfonds de sa conscience. Mais maintenant, il mourrait à petits feux. Il sentait. Il sentait que le simple fait de posséder une arme donnait le droit de vie ou de mort sur n’importe qui… Il sentait qu’il n’était pas en droit de donner ce droit… Il tourna son regard vers moi, vide…

- On rentre à la maison…

Je ne pouvais pas dire non. Je ne pouvais pas dire oui. C’était un ordre. Notre père avait tant accumulé de faux passeports et nous l’avions vus tant de fois tricher qu’il fût un jeu d’enfant de retourner au Japon. Mon frère s’était alors mis en tête, dans un délire, de me faire entrer dans un lycée, de me faire vivre une vie normal. Oh, je n’étais pas analphabète Je suivais des cours par correspondance. Mais ce n’était que pure utopie de la part de mon frère de pouvoir prétendre à une vie normal. Il s’est fait descendre sous mes yeux. Lorsque l’on est accro à la cocaïne comme lui et qu’on est pèter de fric, on ne survit pas longtemps… C’est alors que le même déclic qui s’est fait lors de la mort de mon père se fit. Mon corps bougea tout sol. Lorsque le dealer se tourna vers moi pour me faire subir le même sort, j’avais déjà ramasser l’arme de mon frère, et j’avais déjà appuyer sur la gâchette… Je contemplais le cadavre de mon frère avec un étrange sentiment de vide. N’importe qui aurait éprouvé de la peine. Moi, j’étais comme un chien. Peu importe qui mourrait, mon instinct me poussait seulement à m’enfuir, et à survivre… Et c’est mon instinct qui me mena devant les portes de ce soi-disant « pensionnat magique »…

Hobbys: La violence...

Pouvoir: Possède des reflexes hors du commun qui lui conferent aussi une incroyable capaciter d'adaptation au combat. (Il peut, par exemple, tuer quelqu'un avec un trombonne...)

Autre: Désolé si certains moments de l'histoire ne semblent pas assez approfondi au niveau des sentiments de Senzo (au moment de la mort de son père), j'ai essayer de le faire évoluer dans un monde interrieur ou conscience et amour n'existe pas, ce qui excluait toute sorte de monologue interieur sur le bien et le mal...

Vous:

Prénom: Adrien

Surnoms et pseudos: Adrikun, Adri, Adrigi...

Age: 13 ans

Sexe: masculin

Où avez-vous connu le forum?
J'étais là avant toi, mordiou ! heu... ou pas ^^" Double-compte, kwa...

Autre:
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Nan, t'étais pas là avant moi Senzo !! *Se rappelle du temps qu'elle a mis avant de se rendre compte de qui s'était ^^'*

Reuw !!

Validé, mon p'ti gars !!

Re-bienvenue à toi ^^

Bienvenue ^^

bienvenu...

Rebienvenue ^^

Ah! Death note je veuxpasmourir!

Comment ça je raconte n'importe quoi?

Allez, welc' monsieur le rat u.u

Bienvenue

Reuh =)

BIENVENUUE !!! =D