On raconte souvent -une sorte de légende- que nous ne sommes pas seuls dans le monde. La vie n'est-elle qu'une rêve qu'un Dieu fait ? Toutes ces rumeurs ayant fait le tour du monde est vrai ? Loana s'occupe plutôt du pensionnat, l'endroit où elle se sent "libre" ; Loana, elle, était avait assez peur. Qu'est-ce qu'elle allait faire là-bas ? Loana avait la tête dans ses jambes repliaient, les passagers exprimant des regards moqueurs. Son portable était sur son siège -ne le surveillant pas, il aurait très bien pu être voler-, tout à coup, un bruit sourd, puis, elle fût projeter en avant : ce cognant au siège voisin, son portable valsant dans l'allée du bus. Avant même que le conducteur eût prononcer une parole, Loana se releva et prit sa valise. Elle arriva jusqu'aux portes et le conducteur lui ouvra. Tout à coup, une fois de femme dans la quarantième raisonna derrière elle.
<< Mademoiselle, votre portable ! >>
Normalement -comme toutes filles de son âge-, Loana aurait bondit sur cette femme en lui disant un "Merci." remplit de bonne humeur. Au lieu de cela, Loana restait les yeux rivés sur le sol. Ne regardant même pas la femme : elle prit le portable.
<< Merci .>>
Loana avait presque les larmes aux yeux de devoir y aller : pourtant, elle marchait très vite mais elle ne voulait pas : elle couru, même ! Mais, ne voulait toujours pas avancer d'elle même. Son physique le voulait, mais pas elle. Enfin, arriver devant une grille métallique, elle la poussa légèrement étant très glaciale : elle enleva sa main aussi vite qu'elle ne l'avait mis. La porte grinçait au fur et à mesure qu'elle se poussait du chemin. Enfin, Loana leva la tête ; à l'extrémité du parc qui former un puits ; le pensionnat magique. Loana avança parmi les orties hautes de trois pommes. Loana chuta à terre, se recroquivillait, se démmélait pour sortir de ces plantes piquantes qui s'enfonçaient dans sa chair. Plus elle gesticulait, plus elle se piquait : c'était un cauchemar d'être allonger, ici, en bougeant et en essayant de se débarrasser de ces épines "maléfiques" ; et, d'être fixée par tout l'entourage. Des regards moqueurs se dressaient autour d'elle : il fallait les abattre, se tordre, s'accrocher, se tortiller : mais, n'arrivant qu'à la case du départ ! Et faire ceci jusqu'à devenir sottement épuisé ! Il fallait plonger au-dessus de ces insultes et essayer de se stabiliser. Elle arriva enfin à se redresser -après ce cauchemar ayant duré au moins une heure, sans trop exagérer-. Loana repartit dans l'allée, sous des regards assez "méfiants" des promeneurs. Elle s'accroupit -voyant son lacer défait-, se dressa et vit une personne.
Mer 8 Avr - 16:38