Simple promenade? (pv chiro)

Se promener dans la ville n'était pas trés agréable pour le jeune homme. Il avait tellement prit l'habitude d'etre rejeter, qu'il s'était mit à s'isoler. Il n'avait à present plus l'habitude d'etre avec d'autres etres humains, et ne savait plus si il n'appreciait vraiment pas, ou si sont inconscient lui dictait son malaise. Aprés quelques minutes de marche au milieu de la foule, Kitoku voulut s'isoler un peu. Il vit une petite ruelle sur sa droite, au detour d'une rue, et l'emprunta.
La ruelle était sombre, ce qui ne le genait pas plus que ca. Il fit quelques pas dans cet endroit inospitalier, puis entendit des voix pas trés loin. Trés curieux de nature, Kitoku se decida à chercher l'originie de ce bruit, et remarqua qu'il venait d'une impasse sur sa droite. Il s'agissait de deux hommes. Ne voulant de nouveau pas etre meler à de quelconque etre douer de paroles, Kitoku commenca à s'éloigner, lorsu'il percut quelque bribe de conversation.

"...veux vivant, mort il n'ont aucune utilité."

Kitoku fit alors demi tour, et se rapprocha de l'impasse, sans y tourner pour na pas etre vut, et continua d'écouter la conversation.

"Mais lequel voulez vous?

-Ca m'est égale! Je veux seulement en etudier un! Les éleves de ce pensionnat sont dangeureux, il faut les exterminé, vous ne pensez pas?

-Du moment que vous payez bien, je me fiche de mes cibles!

-Je paierais! Mais il faut que je connaisse leur point faible. Si vous le decouvrez, dites le moi! Ce doit etre le même chez tous les monstres..."

Le mot "monstre" fit accelerer le coeur de Kitoku, qui sentit la rage doucement monter en lui. Il avait été traiter de monstre durant toute son enfance, il ne supportait plus ce mot la. Ils parlaient d'exterminé les membres du pensionnat? Bien qu'il n'en connaisse aucun en particulier, Kitoku ne pouvait supporter cette idée. Lorsqu'il fit un pas pour aller s'occuper d'eux, avant qu'il ne s'attaque à un eleve, le jeune homme entendit du bruit derriere lui, et se retourna pour voir de qui il s'agissait...une jeune fille?

Chiro se baladait depuis un moment dans les rues de la ville. Elle marchait sans but précis autre que celui de découvrir les lieux. Le bruit de ses pas, réguliers tel un métronome, la plongeait dans ses pensées et c'est sans vraiment réfléchir, qu'elle s'engouffrait dans des ruelles peu avenantes, surtout pour une jeune femme seule, et à cette heure bientôt tardive.
Il faisait froid et le temps était maussade, une légère brise transperçait son léger manteau, et une fine bruine mouillait les rues.
Elle marchait toujours tête baissée, concentrée sur ces chaussures, dont elle examinait tous les détails. La jeune fille s'arrêta net, des voix d'hommes, aux intonations déterminées, l'avait tirée de ses pensées. Elle n'arrivait à attendre que quelques bribes de la conversation.
Suivant les murmures, elle tourna et s'aprêtait à emprunter une ruelle encore plus sombre. Les murs étaient délavés, les fenêtres condamnées par des planches, des ordures trainait sur les côtés. La faible lumière vascillante émise par les réverbères se refléttait sur les pavés humides. Elle s'appuya contre le mur et discrètement osa un regard de l'autre côté de la ruelle.
Deux hommes, vêtus de noir, avait une conversation animée, d'ailleurs l'un d'eux agitait les mains. Chiro frissonna, ces deux hommes n'avaient vraiment pas l'air net.
Elle se retourna et trébucha.
En essayant de se rattraper avec le mur, elle s'écorcha les mains et ne put retenir un petit cri de douleur.
- Aïe !
Elle se releva, rétablissant son équilibre et allait s'en aller jambes à son coup lorsqu'un jeune homme, qui l'observait, retint son attention.

En voyant la jeune fille, Kitoku eut une hesitation. Il ne pouvait pas laisser les deux hommes sontinuer de manigancer contre le pensionnat qui était, depuis peu, sa residence, mais laisser une jeune fille seule dans des ruelles trés surement mal fammé n'était pas non plus trés responsable. Surtout qu'elle semblait s'etre fait mal. Bon, apparement ce n'était qu'une ecorchure mais bon. Et puis, si elle ne fesait pas partis du pensionnat, il était fort probable qu'elle ne sache pas se defendre, et que si Kitoku ne pouvait "s'occuper" des deux hommes, ils pourraient s'en prendre à elle...
Kitoku n'eut pas le temps de pousser sa reflexion plus loin, un bruit de pas sur des flaques se fit entendre derriere lui. Il comprit qu les deux hommes arrivaient. Il marmonna un petit "mer..", puis suvit son premier insctinc.
Il courrut vers la jeune fille, la prit par les épaules, et la poussa derriere ce qui devait entre une poubelle, a present plus recouvert de detritut qu'elle n'en était remplit. Il la plaqua au mur -un peu violement à cause de la precipitation- puis mis sa main sur la bouche de la jeune fille afin qu'elle ne fasse pas de bruit.
Jetant un coup d'oeil rapide vers les deux hommes, il murmura presque imperceptiblement:

"Je te veux pas de mal, mais ne fait pas de bruit."

Ne sachant pas qui était ses hommes et quel pouvait etre leurs forces, Kitoku se cacha le plus possible, restant tout de même vers l'exterieur de la cachette, afin de proteger la jeune fille, si les hommes les trouvaient.

Chiro n'eut pas le temps de le voit arriver, en quelques instants, elle se retrouva plaquée contre le mur, une contre sa bouche. Sa respiration se fit haletante. L'homme lui dit qu'il ne lui voulait pas de mal, mais qu'il fallait qu'elle se taise. Elle ferma les yeux et essaya de calmer sa respiration. Pourquoi cet homme agissait ainsi ? Chiro avait envie de le mordre, de quel droit se permettait-il ce genre de choses ? Cet alors, qu'elle aperçu les deux hommes, qui, sans détourner la tête, avançaient vers eux. Elle retint son souffle et le jeune homme fit de même. Elle comprit qu'il avait voulu la protéger, ou du moins ne pas se faire repérer. Tous ces sens en éveil, elle entendit les pas lourds s'approcher et elle se raidit quelque peu. Cependant, l'homme ne la lâchait pas. Ses iris s'adoucirent et elle poussa le jeune homme à se détendre : Elle le fixa dans les yeux et se concentra.
*Détends toi, tout vas bien...*<{là elle utilise son pouvoir, au cas où. Elle le pense fort et ça peut influencer tes émotions ^^}
L'atmosphère devint un peu plus léger, le coeur du jeune homme ralentit un peu, mais elle ne réussit pas à un résultat très brillant, car elle même, n'arrivait pas à se calmer.
* Qu'est ce que je suis bête, dans quel plan je me suis encore fourré ...*
Chiro sentait son coeur battre la chamade, tendis que les pas des deux hommes s'approchaient encore...

Kitoku entendait les hommes s'approchés. Si ils avancaient encore, ils verraient Kitoku, et donc la jeune fille. Pour sortir de la ruelle, il fallait courrir devant les deux hommes sur quelques metres avant de pouvoir tourner sur la droite et changer de rue... les etrangers auraient largement le temps de les attaquer durant ce laps de temps, c'était donc trop dangereux de courrir. Le jeune homme regarda au dessus de lui, mais le mur était beaucoup trop glissant pour s'escalader. Il fallait se rendre à l'évidence, il n'y avait pas d'issus, et il allait étre obliger de se battre contre eux maintenant! Ca vallait peut etre mieu au fond, si les hommes avaient quitter la ruelle sans que Kitoku ne puisse les voirs, il ne les aurait peut etre pas retrouver avant qu'il ne soit trop tard.
Kitoku lacha la jeune fille, et lui murmura

"Cache toi, et ne sort d'ici que lorsque je les aurais eloigner."

Il se prepara à donner un coup au premier homme qui passera prés de lui...puis donna un violent coup de coude. Un homme de corpulence asser importante tomba en arriere sous le coup, le nez en sang. Le second homme recula d'un pas, montrant un certain enervement.
N'ayant à ce moment que l'idée d'éloigner les hommes de la jeune fille, Kitoku enjamba le premier homme, et courrut de quelques pas dans le sens opposé à l'emplacement de la jeune fille, puis se retourna de nouveau face à son ennemie, afin de preparer son assaut. Les hommes tournaient maintenant le dos à la jeune inconnue, qui pourrait courrir.
L'homme encore debout sortit alors un pistolet de son manteau, et braqua Kitoku. Ce dernier ne prit pas le temps de reflechir, et fonca sur lui. Il y eut deux coup de feu, puis Kitoku assenna un violent coup de pied retourné à son adversaire.
Un troisieme coup de feu le fit se retourner, pour voir le premier homme, le visage touge de sang, une arme à la main, poité également sur Kitoku.

[Je m'arrete la...faut qu je te laisse un peu intervenir quand même XD]

Chiro était cachée derrière un amoncèlement d'ordures puantes, elle assistait à la bagarre.
Lorsque l'un des deux hommes sortit une arme, elle se pétrifia. Retenant son souffle, elle regarda le jeune homme affronter les deux criminels - du moins c'est ce dont ils avaient l'air -, avec force et courage.
Du sang, des injures et des bruits de fusil, toute la scène se déroulait au ralenti, comme dans un film d'action. Chiro avait l'impression de rêver.
Mais la lumière, les sons et la froideur mordante du sol sous ses genoux, tout cela paraissait malheuresement bien trop réel.
Elle appuya ses doigts sur ses tempes, et se concentra. Un voile d'or recouvra ses iris et l'enveloppa. Elle vit l'homme, la face rougie de sang, pointer son arme sur son sauveur. Le regard de la jeune fille croisa celui de l'homme avec l'arme. Le voile invisible des émotions l'enveloppa et elle put lire en lui.
Elle ressentit de la colère mêlée à de la peur. L'homme se figea sur place, il la regardait. Chiro essayait de lui faire ressentir cette peur encore plus fort; qu'elle lui prenne les entrailles et le forcent à s'enfuir.
Lentement, l'homme baissa son arme, il avait l'air de ne pas comprendre ce qui lui arrivait, puis ses yeux d'un gris sale, furent traversé par de l'afollement. Ses yeux se révulsèrent presque de terreur et il s'enfuit.
La jeune femme, épuisée, par cet effort inhabituel - rarement elle n'avait mis autant d'intensité dans un exercice du genre - s'assit contre le mûr. Tout tournait autour d'elle et tout devenait flou ...

Kitoku avait commencer à avancer vers l'homme à terre, lorsqu'il vit qu'il ne bougeait plus. En jetant un coup d'oeil vers la jeune fille, il comprit qu'elle lui fesait quelque chose. Elle devait venir du pensionnat elle aussi. Il resta un moment immobile, surpris de ce qu'il voyait. C'était la premiere fois qu'il se retrouvait en face de quelqu'un qui possedait -comme lui- des dons particuliers. Il observa la scene sans bouger, sans savoir quoi faire, et ne comprit pas pourquoi l'homme s'enfuyait tout d'un coup. Il commenca à vouloir le poursuivre pour savoir combien voulait du mal au jeunes du pensionnat, mais vit que la jeune inconnue semblait faible. En baissant les yeux, il se rendit compte qu'il avait lui même trois balles dans le corps, et que ce n'était donc plus le moment de rester ici. L'un des hommes s'étaient enfuit, l'autre était inconscient, et de toute évidence la jeune fille ne pouvait plus s'enfuir...
Kitoku se dirigea finallement vers elle, et se baissa pour la porter. Il se commenca alors à marcher au hasard dans les petites ruelles, avec la jeune fille dans ses bras. Lorsqu'il hestima etre asser loin du lieu de la bataille, il deposa l'inconnue contre un mur, dans un endroit un peu plus propre que le precedant. Il avait decider de ne pas sortir des ruelles, car il était plein de sang, et qu'il ne voulait pas que des parfais inconnus commence à paniquer ou à s'inquieter pour lui.
Il s'accroupit alors devant la jeune fille, avant de lui dire:

"Je te remerci pour ton aide. Est ce que ca va?"

[dsl pas beaucoup d'inspi]

Chiro avait quasiment perdu connaissance, elle sentit son corps se soulever. C'était le jeune homme qui la portait. Elle s'en voulait tellement d'être faible, un fardeau, voilà ce qu'elle avait l'impression d'être. Il faisait froit et la nuit était tombée à présent. Malgré la douleur qui lui lancinait le crâne...
* Encore une migraine ...*
Il la déposa contre un mur. Comme celui-ci était froid, elle y appuya son front. Cela lui faisait du bien. Le jeune homme lui demanda si ça allait et elle répondit d'une voix plus sûre qu'elle ne l'était en réalité :
- Oui, je vais bien ...
Elle le regarda dans les yeux et pu enfin examiner son sauveur. Il était plutôt grand avec de grands yeux bleus et des cheveux de la même couleur que les siens. Elle sourit. Puis, elle s'attarda sur sa tenue et ne put étouffer un cri de stupeur. Sa chemise était maculée de sang. Chiro reporta son regard aux yeux de l'homme et malgré le fait qu'elle manquait de force, elle mis ces deux doigts sur ses temps et essaya d'apaiser ses douleurs. À nouveau, ces yeux changèrent légèrement d'intensité. Il avait mal, mais n'avait pas l'air d'avoir peur, il avait plutôt l'air frustré. Le voile enveloppa le jeune homme et ses traits s'apaisèrent quelque peu.
- Vous saignez !! Il faut vous soigner, il faut ... Il faut aller à l'hopital.... Il faut demander de l'aide, vite !
Chiro paniquait un peu, elle trébuchait dans ses propres paroles et ne se comprenait pas très bien elle même...

[t'as fais une tite erreur dans ton message, mais on va passer dessus XD]

Kitoku ne comprit pas pourquoi elle mettait ses mains sur ses tempes, mais la laissa faire. Lorsqu'elle commenca à paniquer, il posa ses mains sur les épaules de la jeune fille, pour l'immobilisé. Elle paniquait pour rien, sont cas n'était pas urgent, il fallait deja qu'il s'occupe de la jeune fille qui était extenuer a peine une minute auparavant.

"Calme toi, ne t'enerve pas, tu vas te fatiguer pour rien!!"

Kitoku baissa les yeux sur sa chemise. On avait du mal à distinguer la couleur d'origine...C'est vrai que ca pouvait etre effrayant pour n'importe qui, mais il avait l'habitude de se blesser. De toute facon, ca fesait des années qu'il n'avait plus mal lorsqu'il se fesait blesser. Il fallait juste qu'il fasse attention à ne pas perdre trop de sang. Il ne ressentait pas la douleur, mais il restait humain tout de même. Il regarda de nouveau la jeune fille. Il fallait qu'il la rassure, mais comment faire sans lui dire qu'il avait des facultés? Bien sur elle aussi apparement, mais il y avait otujours uj blocage dans l'esprit de Kitoku, qui refusait de dire aux autres qu'il était anormal. Il resta un moment muet, et dut prendre sur lui pour dire:

"Il faut juste retirer les balles et arreter le sang mais...je ne ressent pas la douleur."

Tandis que le jeune homme se relevait, et fesait quelques pas pour s'eloigner et retirer les balles, il dit à la jeune fille:

"Je m'appelle Kitoku..."

Il voulait que la jeune fille prete plus attention à son nom qu'a l'annonce qu'il venait de faire. Il voulait surtout eviter de regarder l'inconnue, il avait peur qu'elle lui lance ce regard dont il avait tristement l'habitude: qu'elle le regarde comme si c'était une créature effrayante et inhumaine.

Chiro avait l'impression qu'un marteau lui tapait à l'intérieur de la tête. C'était étrange, c'était la première fois qu'elle réagissait comme ça. Elle posa sa tête contre le mur glacé et respira, essayant de se calmer. De plus, elle avait toujours eu une aversion pour le sang, et voir cette chemise rouge dont l'odeur du sang lui piquait la gorge, lui faisait monter le coeur aux lèvres. Elle respira et mis de côté cet embarassement.
Le jeune homme s'éloigna et enleva les balles de son ventre.
Quelque chose clochait, comment cela se faisait-il qu'il n'ait pas mal ? Cet alors que les paroles que murmura le garçon la pétrifia. Lui aussi avait un pouvoir alors ! Peut-être même qu'il était au pensionnat, bien qu'elle ne l'ait jamais vu...
Elle sentit que les paroles qu'il avait prononcé, avait été dites avec difficulté, d'ailleurs il avait enchaîné en lui disant son prénom. Chiro avait l'impression qu'il avait un malaise avec ce don qu'il possédait. Elle décida de l'ignorer et elle dit en souriant :
- Moi c'est Chiro. Tu es au pensionnat ?
L'existence du pensionnat n'était pas sensée être connue aux yeux de tous, c'est pour cela qu'elle ne rajouta pas le mot "magique"...

{Sorry, c'est pas génial ... Simple promenade? (pv chiro) 617739

}

[T'inquiete pas, c'est parfais ^^]

Kitoku retira une premiere balle qu'il avait dans l'épaule, et la laissa tomber sur le sol. Il y eut alors un bruit de metal qui raisonna dans l'étroite ruelle. Le jeune homme s'immobilisa un instant, et baissa les yeux vers la balle par terre. Le bruit était étrange...inhabituel. La balle ne semblait pas etre normal. Il ne se baissa pas pour ramasser le projectil de metal, afin de ne pas perdre plus de sang en fesant des gestes inutiles. Il retira donc une seconde balle qu'il avait prit juste en dessous des côtes droite, et l'observa quelques secondes, tout en repondant à Chiro:

"Oui je viens aussi du pensionnat..."

La balle n'avait en effet pas la même forme que des balles standares, et apparement, le metal n'était pas le même. Aprés quelques secondes, Kitoku se retourna vers la jeune fille, et lui montra la balle, avant de lui demander:

"Est ce qu'il y à des lycans dans le pensionnat?...ces balles sont en argent!"

Il ne savait pas si ce qu'on disait à propos des lycans -qu'il ne meurent qu'avec des balles en argent- était vrai ou non, mais si les hommes avaient des balles en argent, on pouvait penser qu'eux aussi croyaient à cette rumeur, et que donc, elle était peut etre vrai. Et si les lycans n'étaient pas les seuls etres sensibles à l'argent? Et si toutes personnes ayant des dons particuliers cragnait l'argent, mais que Kitoku ne le sentait pas, car il ne connaissait plus la douleur? Il retira donc la troisieme balle en hate. Celle ci l'avait atteint au ventre, sur la gauche. Le jeune homme fut rassurer que la plaie n'attegnait pas son tatouage, representant un crane avec unr rose dans la bouche.

- Les Lycans ? Je ne sais pas ... Qu'est ce que c'est ?

Ce nom lui disait quelque chose, mais elle n'arrivait pas à mettre le doigt dessus. Elle avait la tête posée contre le mur froid. Tout c'était arrêté de tourner maintenant. La lumière vacillante du lampadaire, brillaient sur les pavés humides, tel la lumière du soleil lorsqu'elle se reflète sur de la neige, dont les éclats des cristaux scintillent comme des millions de petites étoiles.
Kitoku avait retiré toutes les balles, lentement l'une après l'autre, sans tressaillir, sans avoir l'air de souffrir. Cela avait l'air tout naturel et d'ailleurs les plaies n'étaient pas très profondes et elles ne saignaient quasiment pas. Le jeune homme inspectait son bas-ventre {musclé héhé xD} sur le quel un magnifique tatouage avec un crâne et une rose était représenté.
Chiro était perdue dans ses pensée. Fouillant dans sa mémoire, une mémoire pourtant bien plus que centenaire. Cet alors, que lu revint quelques bribes d'une conversation qu'elle avait eu sur des Lycans.

- Ah, ça me revient. Les Lycans sont des loup-garous non ? Tu sais, je ne connais pas encore très bien le pensionnat. J'y suis de puis pas très longtemps ... Mais cela ne m'étonnerait pas. Pourquoi cela t'inquièterait-il ? Ces hommes n'ont rien avec à voir avec les gens comme non ?

"Les gens comme nous" Après 174 longues et plutôt dures années d'existence, Chiro restait tout de même amère lorsqu'elle pensait ou prononçait ces mots. Jamais elle n'avait vécu "normalement" et c'est ça qu'elle était venue chercher. Elle n'avait plus envie de souffrir de sa différence, ne plus avoir à fuir et qui sait peut-être même pourrait-elle mettre à profit son pouvoir, un jour.
C'est alors qu'elle se mit à comprendre. Et elle se pétrifia. Tout ses muscles se tendirent, elle étouffa un petit cri de surprise. Peut-être ces hommes étaient réellement dangereux ? Est ce que Kitoku pensait qu'ils en voulaient aux jeunes du pensionnat, rejetés et détesté de par leurs différences ?

Kitoku allait expliquer ce qu'était les lycans, lorsque Chiro repondit à sa place. Lorsqu'elle lui parla des hommes qui en voulaient peut etre au pensionnat, Kitoku resta muet un moment. Fallait il qu'il dise la verité? La jeune fille avait reellement des pouvoirs de toutes evidences, mais cela semblait la fatiguer. Si il lui parlait de ses soupcons, est ce qu'elle n'essaierais pas de l'aider. Ce n'était pas sur...quoi que...elle ne s'était pas enfuis lorsqu'elle en avait eut l'occasion, mais avait aider le jeune homme. Elle n'était de toute evidence pas lache, et il était fort probable qu'elle aurait souhaiter l'aider à arreter ces hommes.
Il n'était plus sociable depuis qu'on le conciderait comme un mostre, et ne voulait plus s'attacher aux autres, mais Kitoku ne pouvait pas s'empecher de proteger les autres. C'était dans sa nature, il n'ay pouvait rien. Il regarda finallement la jeune fille, qui se figea d'un seul coup. Avait elle compris? Oui probablement. C'est pourquoi Kitoku repondit:

"Non je ne pense pas qu'ils aient de rapport avec nous...ce sont probablement des chasseurs de lycans; c'est pour cela que je m'inquiete de savoir si il y en a dans le pensionnat...il faudrait les mettre au courant."

Kitoku mit la main dans la poche de son jean, pour en sortir un paquet de cigarette un peu taché de sang. Il en sortit une cigarette, avant de la porter à sa bouche tandis qu'il rangeait le paquet et qu'il sortait un briquet. Avant de l'allumer, il jeta un regard sur la jeune fille. Il esperait que ca ne la genrait pas, mais il en avait besoin la, et puis, ca lui permettait de reflechir un peu mieu...Il alluma donc sa cigarette, en s'eloignant un peu pour ne pas incomoder la jeune fille.

"Ca va aller? Tu n'a pas besoin que je t'ammene à l'hopital ou de manger quelque chose..."

En attendant la reponse de la jeune fille, Kitoku reflechissait. Qu'est ce qu'il pourrait faire pour retrouver ces hommes? Il n'avait comme seul indice que les balles qu'ils utilisaient...il irait peut etre voir un marchant d'arme pour obtenir des renseignement la dessus. Il devait les retrouver le plus vite possible.

Chiro n'aimait vraiment pas la cigarette, mais l'odeur douceâtre lui chatouillait les narines et cela, étrangement, l'apaisait. Elle repensait à la fatigue qu'elle avait éprouvée. C'était la première fois qu'elle réagissait comme cela. D'habitude, tout se passait naturellement sans qu'elle ait quelconque besoin de récupérer. Elle utilisait presque son pouvoir sans quelle s'en rende compte la plupart du temps. Mais là, l'effort avait été intense et fatiguant. Peut-être cela avait été du au stress. Rarement, elle utilisait ce pouvoir dans ce genre de condition émotionnelles : La peur. Il lui faudrait certainement un peu de pratique pour mieux se maîtriser.
Mais maintenant tout allait mieux, elle se sentait à nouveau d'attaque. Et même de plutôt bonne humeur.
Elle lui sourit et se leva.

- Aller à l'hôpital ? Non, je ne peux pas ! Et je n'ai pas faim, merci.

Aller à l'hôpital n'était vraiment pas une bonne idée. Jamais de sa vie elle ne s'y était rendue et elle s'était promise de ne jamais le faire. Elle n'avait aucune preuve de ce qu'elle avançait, mais si les docteurs découvrait une quelconque anomalie, elle deviendrait un phénomène de foire. Chaque fois qu'elle était malade, elle se tournait vers la médecine homéopathique, dont les effets étaient très limités. Heureusement, elle n'était pas en trop mauvaise santé et n'avait jamais eu de problèmes majeurs.

- Ils ne comprendraient pas ...

Chiro réfléchissait sur les paroles qu'avait dit Kitoku. Fallait-il vraiment inquiéter les gens du pensionnat ? Déranger cette quiétude si éphémère, si fragile ...
Mais peut-être que ces hommes étaient une réelle menace. Et même pire : qu'il n'étaient pas seuls !
En tous cas, ceux-ci n'étaient surement tous les deux plus en état de nuire, en tout cas pour un moment. L'un en avait surement pour quelque mois d'hôpital, tendis que l'autre serait surement traumatisé à vie...

Kitoku observa un moement la jeune fille. Sa phrase l'avait surpris. Enfin, il se doutait ne pas etre le seul être "anormal" de cette planete, mais c'était la premiere fois qu'il rencontrait quelqu'un qui, apparement, avait également peur que l'on voit qu'elle était speciale. En avait elle souffert elle aussi? Peut etre...mais il aurait été stupide de penser qu'il était le seul qui souffrait dans ce monde, et que son sentiment de solitude n'existait que dans son propre coeur. Non, en fait, ce qui surprenait le jeune homme, c'était le fait que Chiro avait exactement la réaction que Kitoku avait lorsqu'on lui demandait d'aller à l'hopital, ou même de parler à quelqu'un. Il ne s'opposa donc pas au choix de la jeune fille de ne pas aller à l'hopitale.

"Trés bien, comme tu veux."

Kitoku n'avait apparement plus besoin d' s'inquieter pour Chiro, son esprit se reporta donc completement sur les deux hommes. Si ils voulaient s'en prendre aux pensionnaires, ils étaient surement plus de deux, et devaient avoir de meilleurs armes que de simples pistolets...peut etre même avaient ils dans leurs camp, des personnes possedant un certain don...
Le jeune homme regarda un moment Chiro, avant de lui dire:

"Je pense que tu devrais retourner au pensionnat. Je vais rechercher les hommes pour savoir ce qu'ils voulaient. Exactement..."

En réalité, Kitoku savaient ce qu'ils voulaient: tuer l'ensemble des pensionnaires; mais il voulait savoir combien il était et quels armes ils avaient à leurs disposition. Et il lui faudrait peut etre tuer un des hommes pour proteger le pensionnat, et Kitoku ne voulait pas le faire devant Chiro. Il n'était pas d'un naturel violent, et était plutot passifiste en general, mais il savait aussi agir lorsqu'il le fallait, même si ca ne l'amusait absolument pas...

- Je ne sais pas si c'est une très bonne idée de te laisser seul face à cela. Je ne pense pas pouvoir t'être d'une très grande aide, mais cherche quelqu'un avec qui essayer de résoudre la situation au moins ...

Chiro le regardait avec des yeux presque suppliant. Si la moindre chose lui arrivait, elle s'en serait voulu de l'avoir laissé tout seul dans cette histoire qui pourrait prendre des proportions surdimensionnées.
La jeune fille sortit de son sac en cuir noir et mat, un petit calepin dont les coins des pages étaient écornés et un stylo. Elle griffonna quelques phrases illisibles, puis rangea le tout dans son sac.
Un léger vent s'était levé, le froid s'était intensifié et il traversait son manteau pour lui mordre la peau de ses dents acérées qui font frissonner l'épiderme. Chiro se mit à réfléchir à ce qu'elle devait faire. Elle n'en avait aucune idée. Kitoku n'avait surement pas l'intention de l'embarquer dans l'aventure avec elle - ce qu'elle regrettait fortement car cela lui aurait peut-être donné un but, enfin dans sa vie.
Il fallait le laisser réfléchir en paix. Peut-être pourrait-elle l'aider mais pour le moment elle ne servait à rien. Et peut-être aussi qu'elle le dérangeait.
Comprenant donc qu'elle était de trop, elle releva le col de sa veste où elle enfouit le bas de son visage pour le protéger du froid, adressa un signe de tête à Kitoku avec un sourire grave et dit :

- On se retrouve au pensionnat peut-être ? À plus !

Kitoku adressa un bref signe de tete en guise d'au revoir à la jeune fille et la regarda s'éloigner. Il ne pouvait pas se permettre de risquer la vie de quelqu'un d'autre il s'en voudrait trop. La jeune fille était surement trés courageuse, mais il n'aimait pas non plus demander de l'aide. Il se decida donc à partir à leur recherche seul. Il jeta un coup d'oeil à ses blessures. Il irait se soigner, puis se renseigner sur la provenance des balles, afin de savoir ou les chercher. Kitoku partit en arriere afin de retourner voir l'homme qu'il avait assommer, mais lorsqu'il arriva, l'homme n'était plus la. Quelqu'un avait du venir le chercher. Alors qu'il allait partir, il vit une sorte de petite tete de statue en pierre. Il la ramassa. Au vue de l'etat dans lequel elle étai, elle était trés ancienne... n'y avait il pas de ruines pas loin? Kitoku decida d'y aller en premier, si on ne pouvait pas le renseigner. Il laissa retomber le fragment de statue, puis quitta les ruelles.

[Le topic est cloturé la? ^^']

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