Chambre 43 : Adrien Loiseau, Azuko, Kiyo Hito, Sayo

Kiyo cherchait sa chambre en harpentant chaque recoin du Pensionnat...Il chechait en méme temps que découvrire.Le pensionnat était si beau qu'il resta quelque fois "figé" a admiré les splendeur de ce "palais"...
Puis,arriver a un long couoir par le bians d'un charmant escalier, il vit plusieur serie de porte a gauche et a droite numéroter,Par la suite,il comprenit que gauche c'etait les nombre pair et droite impaire...

*Moi c'etait combien deja....43?*

Il regarda a droite en marchant doucement dans le couloir immensement vide...37...39...41..43...Ha,voila la 43 si dit il.Il sortit une clé de sa poche et la penetra dans la serrure.il ouvir la porte et vit deux lit avec deux place.

*Bha,cool on sera que 2 dans la chambre,esperant pas qu'il y'est une fille ^^*

Il jeta sa valise sur le lit prés de la fenetre.

-Preum's pour la fenetre !

Il deballa ses affaire et rangat dans une armoire mais il y'avait un probléme...Il y'avait quatre armoire,il se demanda pourquoi...aprés avoir ranger ses affaire,il s'installa sur le lit et sortit un paquet de bonbon...

-bon,plus qu'a attendtre la ou le colocataire...

Il soupira puis,repris son sourire.

Adrien arpenta les couloirs d'une manière énervée, exaspéré de l'apparence de pensionnat qui le répugnait complètement. Il voyait défiler les numéros de chambre un à un et lorsqu'il vit le numéro 43 sur l'une d'entre elles, il s'arrêta brusquement et ouvrit lentement la porte, espérant être seul dans sa chambre et qu'il pourrait pleinement profiter de sa solitude avec son frère et sa soeur esprits.

Un garçon y était déjà présent. Adrien poussa un soupir de déception, mais aussi colérique fut-il, il pénétra dans la chambre tranquillement suivit de ses esprits. Il accorda un regard poli au garçon de la chambre et déposa son sac de bagage près de l'autre lit situé loin de la fenêtre.

- Wow! s'exclama Éric. Classe, la chambre! Espérons que tu partages ton lit avec la seule fille qui y résidera!
- Tu n'es qu'un pervers, Éric, se lamenta Amélia.
- Ne changerez-vous donc jamais, tous les deux? demanda Adrien dans un soupir. Je viens d'arriver et je vous serais reconnaissant de ne pas m'exaspéré plus que je ne le suis déjà.

Adrien savait pertinemment qu'aux yeux de l'inconnu, il parlait tout seul, mais cela lui était bien égal. Il était bien trop fatigué pour réfléchir à ses plans tyranniques et considéra qu'il valait mieux en rester là pour aujourd'hui...