Attaque [Citeo, Asa, Luna, Nausicäa, Kokusho]

[HS : L'ordre de passage. Je prends l'ordre des candidatures :
1) Moi
2) Citeo
3) Asa
4) Luna
5) Nausicäa
6) Kokusho

C'est parti ^^]

Owen glandouillait à l'orée des bois, en compagnie de son chat géant, Miko. Ils conversaient, par la pensée, de tout et de rien. Ils regardaient vers l'ouest, vers le soleil couchant. C'était magnifique. La silhouette du pensionnat se découpait, juste devant la lumière du soleil. Après, c'étaient le parc qu'on voyait à peine d'ici, les champs de hautes herbes et de blé. Au loin, on pouvait apercevoir les reflets orangés du couchant sur la mer. Owen mâchonnait un chewing-gum, les yeux à peine ouverts. Il aimait bien ces moments de tranquilité dans la nature. Son crâne n'était pas empêtré dans des centaines de pensées. Bien sûr, il pouvait les refouler, mais c'était difficile de ne pas céder à la tentation... Enfin bref, les grillons stridulaient, quelques oiseaux chantaient - pas beaucoup, on était le soir.
Une heure plus tard, il était plongé dans l'obscurité. Les grillons étaient toujours là, les oiseaux étaient couchés. Tout à coup, une nuée d'oiseaux diurnes s'éloigna à toute vitesse de la forêt. Miko se redressa et pointa le museau vers le ciel. Il essayait de capter des odeurs suspectes, mais le vent était contre lui. Si une bête était dans la forêt, elle les aurait sentis depuis bien longtemps. Puis Owen ressentit la panique des oiseaux. Il pénétra dans leur esprit et il vit des images d'hommes en tenue de camouflage, armés et maquillés. Ils se fondaient dans la forêt.
Les forces spéciales.

*Merde !* pensa-t-il.

Un nouvel assaut sur le pensionnat. Les pensionnaires avaient déjà mis en déroute le premier. Cette fois-ci, ils prenaient la chose moins à la légère. Ils étaient mieux armés, venaient de nuit - une nuit sans lune qui plus est -,... et plus nombreux. Des soldats super-entraînés, des machines à tuer. Les gens de la ville voisine acceptaient les pensionnaires, sans problème. Ils étaient habitués. Ceux "de l'extérieur" les trouvaient bizarres. Ils voulaient les disséquer et découvrir "ce qui clochait chez eux".
Owen sentit des arbres gémir à deux cents mètres. Il projeta son esprit. Des snipers montaient dans les arbres. L'orée des bois, c'était des arbustes et Owen était à deux cents mètres des premiers vrais arbres. Les soldats étaient là-bas, dans l'ombre. Prêts à déferler sur les pensionnaires. Il fallait du renfort ! Owen et Miko ne pourraient contenir quelques dizaines de soldats des forces spéciales. Il allait jeter un appel à la ronde, par la pensée, mais il vit une forme noire se déplacer dans les champs. Tout en restant couché, il essaya de lui faire signe de se baisser. A cette distance, ce serait du pain béni pour les snipers.

Citeo qui marchais juste comme sa par une journée comme une autre se promenais avec son chat Tsuki durant la nuit. Il traversa les champs, foret et tout ce qu’on pouvait aujourd’hui car il avait décidé de se remettre au combat. Le meilleur moyen serait donc l’exercice physique. Soudain son chat Tsuki ressenti quelque chose et fit un bruit vraiment étrange dans la tête de Citeo. Celui-ci fixa devant et ne voyais rien. Puis il enclencha sa vision Anodrac et pût voir au loin pleins de petite silhouette au aura rouge. Signe qu’ils n’étaient certainement pas la pour faire la fête et venir s’amuser.

Aux pas de course celui-ci commença à approcher du lieu de crime lorsqu’il ressenti une aura bleu. Un des pensionnaires était donc près du lieu ou l’incident était en train de se produire. Il était seul contre une bonne armée et en plus il se dirigeait dans sa direction… Jamais il ne le ferait sauf si il arrivait en temps pour lui refiler un coup de main. Citeo mit sa main vers le ciel et un faucon composer uniquement d’ombre sortit du sol et il attendit. Citeo et Tsuki montèrent sur lui survolant la distance qui séparaient Citeo de Owen et arriva finalement près de l’endroit.

D’un silence absolu il s’avança tranquillement lorsqu’il vit la silhouette d’Owen qui lui fit un signe de ce baissé. Il se baissa instantanément et rampa jusqu’au coter de Owen lorsqu’il anticipa une attaque. En vitesse, il mit la main sur l’épaule droite de Owen le tirant vers lui et le faisant esquiver un couteau qui avait par mégarde voltiger jusqu’à lui. Silencieusement il reposa Owen et dit

- Je me nomme Citeo… Je viens pour t’aider… Dit moi il se passe quoi la… Je ne crois pas que ses hommes soit venu pour faire la fête…

Il arrêta de parler car il ressenti une présence en approche… Cette présence avait un aura d’allier… mais qui c’étais… Il n’arrivait pas à replacer son visage.

Luna comme toujours était sortit de sa chambre et se baladait dans la foret et elle vit des oiseaux s'envoler et elle alla vers le lieu d'ou provenait les bruits puis elle vit des hommes armés et elle souria puis elle se cacha dérrière un arbre puis elle vit deux jeunes garçons couché par terre. Elle leur souria et elle regarda les hommes avec un regard qui exprimait une certaine attente et un regard pleine d'assurance. Elle se baissa et alla vers eux et elle dit en souriant

"bonjour les garçons... alors des gens sont encore venus pour nous enlever...cela va être intéréssant car je ne me suis plus amuser comme ça depuis bien longtemps."

Luna resta là ou elle était sans rien faire. Elle regardait les personne puis les garçons qui se trouvait à coté d'elle, elle se demandait pourquoi ces personnes voulait les tuer alors que d'autres vivent très bien avec eux. Elle resta à réfléchir un bon moement à leur véritable intenations. Elle resta à réfléchir sur pourquoi elle est venus mais elle n'allait pas les laissés tout seule. Elle entendit quelqu'un arriver dérrière eux.

Edit Owen : S'il te plaît, pourrais-tu
améliorer la syntaxe, l'orthographe, la ponctuation, la longueur et le
réalisme ? C'est complètement irrationnel ce que tu mets : une petite
fille ne sort pas un flingue comme ça. Enfin ça, c'est mon opinion
personnelle.

Par contre, tu pourrais
faire des efforts pour la syntaxe, l'orthographe, la longueur ou encore
la ponctuation. C'est ennuyant à lire quand il y a des "et" tous les
deux mots, quasiment aucune ponctuation, trois fautes par phrase,
aucune majuscule, etc.

Ceci dit, ce n'est pas pour te décourager mais pour souligner les points que tu dois améliorer.
Bonne chance.

Ceci étant votre dernier avertissement, un MP vous a été envoyé.
Réactions ? MP.

________________
Edit Owen² : A l'avenir, merci de ne plus supprimer les edits des modos.

C'est déjà mieux, mais j'aimerais bien que si je te corrige le premier paragraphe, tu en tiennes compte dans ton édition !
Je ne suis pas sûr que les 8 lignes y soient... enfin bref. Je laisse passer, tu as édité, c'est déjà ça.

Réactions ? MP.

La soirée était déjà bien avancée et les étoiles commençaient à apparaitre l'une après l'autre, timidement. Il s'agissait des dernières heures qui clotûrent généralement une journée belle et agréable. N'ayant pas mieu à faire, Kokusho décida de faire une de ces longue ballade dont il était si friand et qui lui permettaient généralement d'oublier les soucis et les petits tracas de la vie de tout les jours.
Sortant des dortoirs, il marcha quelques instants sans buts apparants. Venant à passer devant l'orée de la forêt, il réalisa qu'il n'avait jamais eu l'occasion de s'y promener.

*Bah, pourquoi ne pas y remédier? Après tout, là ou ailleurs...*

Flânant d'un pas léger entre les arbres de ce lieu baigné d'une sereine tranquilité, il apperçut soudain par une trouée dans les arbres un groupes de 3 personnes parmis lesquelles se trouvait Citéo.

*Citéo?!? Haha! On va se marrer!*

S'engageant plus en avant, il apperçut rapidement que le petit groupe était encerclé par une escouade d'homme fortement armés.

*Mmmmmmh, des hommes en arme et Citéo au même endroit...Je suis à peine surpris.*

Reculant pour se mettre derrière un arbre, il évalua la situation.
Celle-ci se révéla relativement problematique en ce sens que le groupe de Citéo était complètement encerclé et qu'il ne disposait d'aucune voie de retraite.

*Citéo, mon cher, tu fus un brave adversaire et tous connaitront ta fin tragique à travers le récit que j'en ferais. Naaaaan, si tu crèves, de qui je me moquerais, moi?*

relâchant petit à petit son pouvoir, il décida que le moment était venu pour une entrée...théâtrale.

-Alors Citéo, t'as encore oublier de t'excuser après avoir bousculé quelqu'un? Vraiment, t'es...

La suite devrait rester méconnue car il fut interrompu par une salve de tir. Kokusho eu tout juste le temps de retourner derrière son tronc avant d'être touché.

-NAN MAIS CA VA PAS?!? BANDE DE DESAXES!

Tout d'abord, quelqu'un de son âge, qui avait visiblement envie de se battre. Ensuite, une fille qui avait l'air un peu paumée sur l'aire de combat. Owen prit le temps de détailler les assaillants, qui arrivaient toujours sans repérer le mini-commando du pensionnat : ils étaient tous grands et avaient l'air musclés, bel et bien des soldats d'élite ; ils étaient en tenue noire, leurs visages camouflés sous du maquillage. Leurs têtes étaient ornées de casques tactiques accompagnés de lunettes à vision nocturne et thermique. Visiblement, aucun n'avait utilisé cette seconde, sinon la couverture des pensionnaires aurait été grillée depuis longtemps. Ils étaient armés de MP5 de marque Heckler & Koch munis de silencieux, les snipers de Dragunov ou de PSG-1 avec des cache-feu. De l'armement de pointes. Flash-bang, grenades à fragmentation et autres C-4 complétaient l'équipement.
Owen en vit alors un qui changea le commutateur de ses lunettes. A coup sûr, il venait de passer en vision thermique : aussitôt, il appuya sur son oreille et parla à toute vitesse. Tous les soldats changèrent leur mode de vision. D'autres épaulaient leurs armes. A ce moment précis, un ado déboula en criant après Citeo, quelque chose comme "t'as encore bousculé quelqu'un sans t'excuser ?". Dans ce cas, la réaction serait légèrement disproportionnée. Bref, les combats étaient lancés. Owen tenta de prendre le contrôle d'un tireur d'élite, mais ils étaient trop loin. A défaut, il prit le contrôle d'un soldat, au pif. Il sentit le flot de panique de l'esprit qui ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Il fut vite soumis. Il épaula, visa et fit feu. Le voisin s'écroula, trois balles dans les jambes. Des coups de feu fusèrent immédiatement et Owen quitta ce corps et revint dans le sien. Il vit ce soldat s'écrouler, tué par celui de derrière, une lueur d'incompréhension dans le regard. L'ado savait qu'il ne pourrait plus prendre de contrôle avant quelques minutes, il sortit donc son couteau, avec l'ambition de récupérer une arme à feu assez vite. Miko sauta à la gorge d'un soldat qui allait tirer, à quelques mètres de là.
C'était parti.

Citeo ressenti les deux nouveaux se joindre à eux et salua de la tête ne disant rien car il ne voulait rien faire qui aurait pu prouver leur présence jusqu’à l’arriver de son vieil ami Kokusho. Il se retourna la tête et lui fit un sourire. Lorsque la balle arriva il n’eut aucune réaction. Puis il remit son regard vers l’avant suivant les tactiques d’Owen. Soudain il ressenti une présence juste derrière lui-même et se poussa sur le côté esquivant de justesse une crosse de fusil qui tapa le sol avec force.

-Mais c’est quoi vôtre problème à la fin… ce territoire n’est pas vôtre et on refuse de ce faire avoir aussi facilement par des humains faible comme vous…

Il agrippa sa jambe le basculant sur le dos et vint le taper avec force au visage. Une fois fait il le ressenti l’arriver d’un coup derrière Owen et lança le corps qui se prit le coups de crosse à sa place. Puis Citeo activa la deuxième virgule à sa vision pouvant ainsi voir autour d’eux

-On est encerclé… BOUGEZ VOUS ON EST…

Un coup de feux se fit entendre et une balla l’avais touché en plein pied. Il gémit un peu mais souleva son regard. On pouvait maintenant voir 3 virgules commencer à se créer dans ses yeux

-Heureusement que l’ombre ne ressens pas les blessures…

Il vint carrément retirer la balles de son pied en gémissants quelque peut. Puis il regarda Kokusho et lui fit un sourire

-Dit moi Kokusho qu’arrive t’il lorsque je libère les créatures des ombres qui eut sont affamer pour de la chaire fraîche…

Il aperçut un mec derrière Kokusho et il lança son couteaux droit dans sa tête. Du sang vint gicler sur l’épaule de Kokusho

-Désolez mais il m’énervait… LES AUTRES FAUT SE BOUGER ON EST ENTOURER … ON RISQUES NOS VIES…

-M'enfin, Citéo, des fringues neuves! T'as vraiment aucun savoir vivre...(nouveaux tirs ennemis) 'Scuse-moi vieux, j'en ai pour deux secondes.

Utilisant son pouvoir à pleine puissance, Kokusho s'en servit pour faire apparaitre un esprit d'une taille gigantesque. Concentrant alors tout son vouloir sur sa création, il en développa le corps jusqu'à ce que celui-ci acquière l'apparence d'une créature quadrupède, au corps recouvert de plaques osseuses et dont la bouche pleine de crocs accérés annonçait clairement au monde son utilité.
Une fois invoquée, la créature vint se placer au-dessus de Kokusho dans une attitude défensive.

-Donc, tu disais? Ha, oui! Les ombres! Bof, ça n'a pas produit un super effet la dernière fois...Mais c'est vrai que c'était plutôt fun en fin de compte. Bon, je fais une sortie? Ou vous preferez rester là pour vous amuser?

Relâchant une seconde fois son pouvoir, il créa plusieurs petits spectres qui se jetterent sur ses ennemis, créant ainsi la confusion la plus totale dans les rangs adverses.

-Maintenant ou jamais les gars...

[Kokusho : fais gaffe aux 8 lignes... désolé mais c'est mon rôle de le dire :p
Pour l'instant je dis rien parce que la taille des pages est trop grande ^^]

Citeo lui sauva la vie, Owen lui envoya donc un sourire reconnaissant. De grands "clac" retentirent. Les snipers faisaient feu. Par chance, les trois frères d'armes - pour l'instant, la fille restait cachée - étaient en mouvements confus, il était donc difficile à des tireurs d'élite, tout bons qu'ils soient, de les abattre. A présent, les balles sifflaient dans tous les sens. Un petit coup de malchance et... c'était fini. Citeo fut touché, mais il se soigna tout seul... il boiterait sûrement un moment.
Owen pensa qu'il avait bien fait de trafiquer ses chaussures. Il sauta vers un soldat et lui décocha un coup de pied sous le menton. Malheureusement pour cet homme, une lame rétractable sortit de la pointe de la chaussure, ne lui laissant aucune chance. Il s'écroula et l'ado détourna le regard, dégoûté par le sang qui coulait à présent abondamment. Il saisit le MP5 et tira un peu au pif aux alentours. Il entendit un cri de douleur, signifiant qu'il avait fait mouche. Une explosion retentit à quelques mètres de lui, l'envoyant violemment au sol. Une grenade à fragmentation. Heureusement qu'elle n'était pas tombée plus près. Il se secoua et se releva. Les soldats gagnaient du terrain. Tout vaillants qu'ils soient, les pensionnaires - dont lui - reculaient, du fait de la supériorité des ennemis. Peut-être que quand ils les auraient repoussés jusqu'au pensionnat, d'autres ados aux pouvoirs surnaturels viendraient leur prêter main-forte et repousser l'invasion.
Peut-être.

Nausicäa se promenait dans la forêt quand elle entendit des coups de feu . Elle S'envola pour inspécter les environs . Elle vit que 5 pensionnaires était ensèrclées par des soldats . Elle se posa devant eux et demanda comme une débile :

-" Pourquoi vous faites ça ? cria-t-elle .Pour toute réponse , une balle lui arriva dans la cuisse . Elle regarda sa cuisse et le trou qui était dedans et dit d'un air furieux à l'adresse des soldats :
'" NAN MAIS VOUS ETES MALADES !!! BANDES DE DEGENERES !!! "A ses mots , elle fit appelle au demon * Tu peux nous aider please ? * d'une voie toute contente , le demon répondit * Bien suur !! * Aussitôt , Une rafale d'énèrgie fit propulsée les assayants en arrières .
-"Ba voila ! Dit Nausicäa fière de son esprit de demon , Bon à moi maintenant !" Elle enleva son foulard et découvrit sa main droite devant elle . Le trou noir fit son boulot : des tonnes d'ennemis se sont fait aspirés . Au bout d'un moment , Nausicäa baissat sa main et remis son foulard dessus . Elle soupira et dit :
"- J'ai plus faim !! Luna tu dort ? C'est pas finit hein !"

( HRP:halalala, quel lyrisme, quel sens des mots et de la prose dans ces quelques lignes Attaque [Citeo, Asa, Luna, Nausicäa, Kokusho] 51268

)

Depuis les plusieurs minutes qu'ils se battaient, la nuit avait achevée d'étendre ses ailes sur la forêt dans laquelle se déroulait le combat. L'obscurité envahissait maintenant jusqu'au plus petit coin de la sylve et donnant à toutes choses un aspect bien plus menaçant qu'il ne l'eut été à un moment plus clair de la journée. Pourtant, loin d'apporter repos et tranquillité au lieu, la nuit n'avait, au contraire, fait qu'apporter un regain de violence dans les échanges qui se produisaient de façon spasmodique entre les assaillants et leurs victimes. Ces dernières, décidées à ne pas se laisser anéantir sans réagir, rendaient coup pour coup à leurs assaillants et ne leur laissaient pas la possibilité de les submerger.
Au fil du temps, la situation avait évoluer de façon à ce que les élèves étaient maintenant en mesure d'opposer une résistance des plus âpres à leurs adversaires.
Profitant du faiblissement momentané de l'offensive ennemis (dûe au dégâts fort important que ceux-ci avaient subits), Kokusho envoya l'énorme esprit qu'il avait invoqué quelques minutes auparavant sur les quelques adversaires restants afin de briser le cercle qu'ils avaient formé autour de ses compagnons.
Voyant cette abomination sorti d'on ne sait quel bas-fond de l'enfer leur foncer dessus tous crocs dehors et poussant des rugissements capable de glacer le sang des plus braves, les derniers assaillants encore debouts prirent leurs jambes à leur cou et fuirent à travers les arbres dans l'espoir (vain mais désespéré) de sauver leur vie. Rapidement, les bruits de branches brisées cédèrent la place aux hurlements horrifiés que poussaient les victimes lorsque celles-ci se faisaient ratrapper par l'invocation de Kokusho

-Faudrait voir à chopper les survivants...Des fois qu'ils voudraient revenir...

[HS : Le scénar' de départ était qu'on se faisait balayer...
mdr Kokusho]

Après ces interventions musclées et mortelles de deux pensionnaires, ils crurent quelques minutes que les assaillants avaient abandonné la partie. C'était sans compter sur leur hargne, leur entraînement, leur esprit de vengeance et leur armement. Les pensionnaires sourirent, soufflèrent, pansèrent quelques plaies, Owen se coucha dans l'herbe et essuya son visage couvert de sang ennemi et de sueur avec son T-Shirt. A ce moment de détente pour tous, après l'effort, de bruits de course retentirent de la forêt, et ils étaient visiblement nombreux... On entendit des cliquetis, des bruits de moteurs, de freins, et autres sons montrant qu'un déploiement d'importance était en cours. Owen aurait adoré maîtriser le feu (il lui fallait un peu plus d'expérience pour cela). Ils pouvaient s'estimer heureux qu'aucun char ou autres hélicos de combat n'ait été apporté.
Tout à coup, la forêt fut silencieuse. Trop silencieuse, pour sûr. Même le vent retenait son souffle. Cinq secondes... dix.. vingts... des éclairs blancs très crus et violents aveuglèrent les pensionnaires, accompagnés de "boum" assourdissants. Des flash-bang. Immédiatement, des mitrailleuses lourdes lâchèrent la mort. Une balle éclata sur un caillou à côté d'Owen, lui envoyant un éclat de métal et de roche dans le bras. Il poussa un hurlement et courut le plus vite possible vers le pensionnat et le repli du parc. Là, ils pourraient trouver un plan de riposte. Par les grottes, ou les pensionnaires auraient l'avantage. Sûrement par les grottes. Sinon, ils étaient fichus, ceux ayant invoqué de puissantes forces ne pouvant le faire à longueur de journée.

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