Votre personnage:Nom : Je me nomme Kheel, d’ailleurs mon prénom ne compte pas tellement par rapport à lui, on me surnomme « Kheel » dans mes déplacement, c’est une sorte de surnom oui, en effet. Ce n’est pas, j’ajoute, mon véritable nom, mais celui là je ne le donne jamais, vous ne savez pas tout ce qu'on peux faire avec un nom.
Prénom: Damien, qui par la suite des évènements est devenu Die. Mais comme je l’ai dit, c’est plus par mon appellation première que je suis raccordé, au Japon c’est d’ailleurs il me semble une sorte de tradition dans certains établissements. Pas dans celui là il me semble, tant pis.
Age: Actuellement jeune homme de dix-huit ans, je parcours avec lassitude les longues années de ma vie. Je n’aime pas mon reflet dans le miroir, je ne fête jamais mes anniversaires, je n’en prends pas la peine. Le jour auquel j'accorde le plus d'importance dans l'année est le nouvel an, autrement je ne sors pas de mon enfermement familier.
Sexe: Je suis un garçon, j’ai beau avoir les traits particulièrement fins, j’ose espérer qu’on peut tout de même le constater aux premiers regard. Mais il est vrai que je n’invite pas grand monde à venir vérifier la vérité de ce dire.
Orientation sexuelle: Je suis bisexuel. Mais durant le parcours de ma vie, mes relations amoureuses furent si brèves, utilisant ce sentiment pour simplement détourner, encore et encore, les mauvais avis et aussi pour calmer mon ennui.
PsychologieCaractère: Je n'ai pas un très fort tempérement, il est impossible de me faire ciller, mon égo étant froid comme de la glace dure. Insensible au mots, les remarques ou les commantaires désagréables glissent sur moi comme sur un mur lisse et indestructible, quand bien sûr on prend la peine de m'importuner, ce qui est extrèmement rare, mes réactions sont tellement peu discutables. J'affiche l'image d'un jeune garçon de bonne foie et de bonne famille, discret et peu apte à se mêler de la vie extérieur. Je sais faire preuve d'émotion, enfin, il m'est arrivé une fois d'ouvrir pleinement les portes de mon esprit maladif à quelqu'un -mon professeur et tuteur-, mais les gens qui daignent et qui me paraissent plausibles à aborder de cette façon sont si rares, et jusqu'à présent, je n'ai jamais eu recours à une autre image que la celle que j'invente pour le regard extérieur, le garçon calme. En dialogue, je peux me montrer d'une extrème arrogance, à l'humour çynique, même en compagnie de personne que j'apprécie, j'entends par là les gens avec qui je fais affaire, je garde les remarques gênantes et réellement désagréable qui arrivent par flots dans les soutes de mon esprit divaguant, pour moi. Monstre de solitude, je m'enferme dans de longues heures de reflexion très régulièrement, dans ces instants mon visage est parfaitement immobile et je regarde droit devant moi. La vie est pour moi un jeu, une partie stratégique où chaque mouvements est décisif, et, étant d'une immaturité complète, j'ai horreur de perdre. Ce traits psychologique me pousse d'ailleurs à de lourdes extrémités, je joue avec les gens, les manipule sans hésiter, qui qu'ils soient. L'être humain n'est-il pas qu'un simple tas de chair qui n'hésite pas à détruire tout sur son passage pour parvenir à ses fins ? Jouer avec lui n'est-il pas ls plus amusante des distractions ? Très songeur, peu actif, je me fond parfaitement dans la foule sans pour autant m'y mêler complètement, être mon ami ne signifie pas qu'on pourra toujours compter sur moi, ça signifie qu'en cas de problême, je logerais chez l'être en question et lui soutirerait de l'argent en cas de manque. Je n'ai plus besoin de croire en quelques chose, ce qui ne m'empêche pas de me signer dans les églises, quand j'y mets les pieds. Jaloux du bonheur dans lequel certains se baignent, je tais ma véritable personnalité au point d'en devenir une sorte de schizophren repenti. Je n'ai pas d'amitié, simplement je refuse d'être détesté ou mal vu, je veux que les gens m'aime, bien que je ne leur accorda pas plus d'importance qu'à une bande de singes stupides et abrutis.
Il est diffiicile de me définir moi même, l'avis extérieur ne verra que ce que je veux bien leur montrer, d'ailleurs. Un être paisible, franc et sans histoire. La réputation est une chose si facile à forger. Un sourire, un regard, une parole.
« J'habitais seul un monde de plaintes, et mon âme était une onde stagnante. »(Edgar Allan Poe)
Qualités : Manipulateur parfait, acteur de première, maître dans la discrétion, je suis un homme de pure confiance à partir du moment où je trouve gage à la clé. J'étend ma culture jour après jour, je suis un garçon très cultivé. Et ce qu'on me demande de faire en général, c'est d'aller chercher les connaissances. Amoureusement, je suis plutôt doux, mais incontrolable et libre comme le vent, du moins je le pense, je n'ai jamais eu de relations réellement sincères, ou presque. Muni d'un charisme et d'un certain charme, j'ai un don dans l'art du mensonge. Peut-être, peut-être, puisqu'on dit que c'est un don inné, alors mieux vaut l'apposer dans mes qualités, non ? Je suis un grand amateur de musique, mes compétences de pianiste sont redevables. Qualités...je repose sur une somme d'argent assez peu modestes et sais m'en servir à bien. Lorsque je le veux bien, je sais m'attirer des sympathie. Mes sens de l'analyse et de la déduction sont infimes et je peux compter sur eux pour guider mes pas hors du hasard. Ayant besoin de servir une cause, ainsi celle de la science, même si ses lois sont impitoyables et les innocents crèvent par fourgons, et pour ce, je m'attire plusieurs atouts, même si beaucoup sonnent creux. Je ne me plains jamais, incapable de supporter les gémissements plaintifs de mes semblables, je m'arrange autrement pour ne rien laisser paraître.
Défauts: Perturbé, je ne montre aucun de mes sentiments et me détruit au fur et à mesure par cette dissimulatin incessante de mon véritable. Arrogant, moqueur, mon entourage serait loin de me voir sous un bon angle si je me dévoilais. Mais je sais m'adapter. Pas social du tout, d'un oeil très critique, je suis l'ami faux avec qui on a droit chaque jour au récit de sa propre misère. J'ai beaucoup de tic physiques comme celui où je passe ma langue sur mes lèvres, celui où je renoue puis dénoue ma cravate. Je ne cherche pas l'aventure, sauf si elle est payante. Les choses du monde ne m'interresse pas, je ne suis interressé de rien en vérité, l'amour, tout ça. J'ai eu et j'aurais des amants mais dans le fond, étais-je vraiment épris d'eux ou bien plutôt était ce une tentative désespérée de rompre ma solitude dans les bras d'une belle, le soir ? Pour oublier que je suis un être détestable, je m'arrange pour sans cesse m'occuper l'esprit, mais âme mélancolique me rattrape toujours. Je fume beaucoup ce qui ne fait que réduire le cours de mon existence et me dévorer à petit feu.
Aime: Consommer mon café, consummer ma cigarette et consoler mon esprit troubler. Observer les gens en détail, ne me faire remarquer de personne, regarder droit dans les yeux un professeur débutant avec un sourire teinté de niaiserie. J'aime cet instant de la matinée où l'on se réveille mais où le sommeil est le plus agréable, voir les rayons du soleil s'engouffrer entre les volets clos. Occuper paisiblement mes heures à ne rien faire, l'innocence enfantine qui m'a filée entre les doigts comme une anguille pressée, détailler mon reflet, renoncer à sauter par la fenêtre ouverte, inspirer l'air frais, remonter à pied nus les bancs de sable, laisser la mer me lecher les orteils, comme les clients du système finissent par me lècher les bottes.
N'aime pas: Être dévorer des yeux, surtout quand les yeux en questions sont grands, dévéstateurs et battent des cils à tout bouts de champs, passer la nuit tout seul, être affliger de la tâche de proteger quelqu'un, complimenter et être complimenté, passer mes heures perdues en mode geek devant ma console de jeux, craquer les allumettes, me prendre l'encadrure de la porte de ma chambre systématiquement tout les matins, être bousculer dans la rue, être obliger de jouer aux gentillets. Les personnes qui s'imagine faire la puissance du monde, les êtres sans scrupules -dont moi- et ceux qui ne voit et ne sont que mal non expliqués, les assassins, les psychologues qui donnent leur conclusion, les stylos verts (?), la musique débile qui bat son plein en ce moment.
ApparencePhysique: Ma silhouette est élancée, finement musclée, grande, j’y veille, je tiens à rester du plus séduisant que je le peux, me sentir complètement seul m’arrache le cœur, même les aventures d’un soir, et pour être entouré, il faut être beau, c’est ce que j’ai appris.
Né très blond, j’ai plusieurs fois fait subir à ma chevelure des teintures. A une certaine époque de ma vie, j’affichais une image très rebelle, je les avaient gardés très long en signe d'admiration au chanteur du groupe Endorphines que je vénérais (aujourd'hui encore j'écoute leurs titres en boucle). Légèrement ondulés, en mèche désordonné, je n’ai pas hésité à les trancher à l’époque où ils apprivoisaient facilement les quatre-vingts centimètres, me caressant le dos. Enfant, mon épiderme était donc d’une livide pâleur, mais le soleil de New York à remédier à ce problême. Au dessus d'une bouche fine et d'un nez droit, deux prunelles claires brillent doucement mais bougent à peine.
Mes mains aux doigts fins sont légèrement osseuses, des phalanges de pianiste, et pour cause, c’est le seul instrument que j’ai jamais su à peu près manier.
Ce physique construit, ce n’est pas avec joie que je me transforme en un autre, mais cette image ancienne, à la peau trop blanche et aux yeux de braise doit désormais être enterrée. Je la hais et je ne veux plus jamais la voir. Surtout pas face au miroir.
Tenue vestimentaire: Les grand manteaux d'uen classe noir et les ornement bijoutiers gothique sont de moins en moins présent, je suis plus discret qu’à l’époque et préfère souvent à ses symboles rebelles le jean bleu surmonté de la chemise blanche ornée d’une cravate noire. Dans un établissement scolaire tel que celui-ci, il nous ai demandé d’arborer des tenues correctes qui permettent aisément de se fondre dans le foule. Je n’aime plus beaucoup me faire remarquer, je préfère justement devenir invisible, au cœur de la masse vivante. Il m'arrive cependant de ressortir le manteau en question, il est assez simple quand on le porte tout seul.
La nuit, je me contente aisément d'une chemise, je quitte rarement mes gourmettes, ou bien dors en jean et torse nu.
BiographieHistoire: [ 15 lignes minimum complètes ] troisième personne) La naissance et l’enfance de Kheel n’ont pas réellement été une partie de plaisir. En effet, ses parents, un couple d’anglais moyens vivant dans un petit pavillon à Silsoe, un village comme tant d’autres, avaient, après leur mariage, déjà perdu plusieurs années de leur vie à tenter de concevoir un enfant sans succès, notamment à cause des problèmes de santé très importants de la mère de Die, la jeune Ginny Kheel, et leur dernier espoir d’avoir un enfant était la conception in vitro : désespérés, ils insistèrent pour tenter le coup, même s’ils savaient que toutes leurs économies allaient y passer et que les chances de réussite étaient minimes, tant leur envie d’avoir un bébé était puissante.
Contre toute attente, le bébé n’avait pas été rejeté du corps de Ginny, mais son mari qui avait jusque là été tendre et aimant devint plus distant, plus froid, et il commençait à accuser son épouse d’être la cause de leurs problèmes financiers ; William Kheel n’était pas un homme au fort caractère, et déjà durant la grossesse de sa femme il lui arrivait de faire des crises de colère incontrôlées durant lesquelles il se disputait violemment avec sa femme en lui répétant que son organisme défectueux était la source de toutes leurs difficultés, la soumettant continuellement à un stress intense, ajouté à son manque de traitements médicaux, ce qui eut pour effet des conséquences assez désastreuses sur le développement du bébé qu’elle portait.
Finalement, heureux dénouement du chapitre, et contrairement aux attentes, Ginny ne mourrut pas en couche et mit au monde un adorable gamin. On lui appris qu'il était atteint d'une maladie concernant une organe defectueuse, mais elle s'en moquait bien. Elle avait son bébé et là était tout son bohneur et sa concentration. Damien. Cependant, il présentait des traits particuliers pour un si jeune enfant, n'ouvrait jamais la bouche, ne pleurait pas, si sa mère le chérissait comme un petit poupon, son père avait tôt fait de renié ce légume autiste qui était le fruit de ses propres entrailles. Lors d'une dispute particulièrement violente, Williams ne put retenir sa colère et finit par en venir au main. Damien se souviendra du bruit d'une ambulance, il avait alors trois ans et son père le laissa seul à la maison pour accompagner son épouse à l'hopital en minaudant des excuses débordantes de désespoirs et de regret, tout en sachant éperdumment que ce genre de scène reprendront forcément. Une fois rentré seul à la maison, laissant Ginny là bas, qui y trouva la mort le lendemain, il s'assied à la table de la cuisine et y resta longuement, immobile. Die jouait sur le tapis. Il se souvient ensuite l'avoir entendu se lever, un bruit d'éclat de verre puis une douleur fulgurante à l'arrière de la tête suivit d'un coup de feu qui ne lui était pas destiné.
Orphelin, une voisine curieuse ameuta la police et on y découvrit un cadavre ensanglanté et un gamin gisant sur le sol. Son cas à longtemps été débattu, sa mère n'ayant plus de famille extérieur, et du côté de son père on le rejetait aimmablement, la juge décida au final de le placer en orphelinat où il grandit et développa une psychologie étrange. Repéré au vol par un inspecteur, ses études le menèrent jusqu'au dérives d'un association américaine qui l'engagea avant même sa majorité, il avait alors seize ans et le pria de bien exécuté les ordres d'un patron inconnu. Cette étrange association de scientifique et d'enquêteurs s'interressait tout particulièrement au phénomène comme lui, on lui forgea un mental et son attitude changea beaucoup durant ces années, il lui fallu deux ans pour être officiellement agent du groupe -ils n'étaient pas si nombreux et se reposaient sur une branchette du FBI- et pouvoir directement s'adresser au dirigeant. Il obtenu aussi quelque chose de plus précieux. Le permis de tuer. Ce fluide d'étrangeté qui les passionait tant flottait au dessus du pensionnat où il est à présent, son devoir sera d'en apprendre plus pour alerter les etudes scientifiques à qui il donne corps et âme.
Mer 28 Jan - 21:53
