arrivé [Terminer]

[ J'inaugure l'aéroport ]

11h30, l’avion en direction de la chine[japon ?] est toujours en vol. Le personnel est au petit soin pour ses passagers. Certains de ceux-ci dorment, mangent, écoutent de la musique ou bien lisent. Une ou deux heures plus tard un homme, la cinquantaine, maigre, brun et vêtu d’une chemise bleu et d’un pantalon en jeans noir, à fait un malaise à cause du stress. Il avait trop peur de s’écraser. C’est surement la première fois qu’il prenait l’avion. Au milieu de l’avion , dans la classe passagère, sur le siège 45A, Un homme blond, vêtu d’un chemise ne lin noir de la marque ***** et d’un pantalon en toile, se réveil. Il regarde rapidement par la fenêtre pour voir si l’avion est encore en vol, ce qui est le cas. Il se redresse et appelle un hôtesse, commende un verre d’eau car il a la bouche pâteuse. Puis il se retourne encore une fois vers la fenêtre. D’ici il peut voir un petit village avec des champs puis il remarque quelque chose.

* Tien, je ne vois pas de nuages, on va bientôt atterrir. *

Et Syn ne croit pas si bien dire car le pilote fait son annonce.

« Tudu… Votre attention s’il vous plait, l’avion va bientôt atterrir, veuillez attacher vos ceinture merci …Tudu »

Ainsi tout le monde attacha sa ceinture, les hôtesse et les steward passèrent dans les rang pour vérifier comme le ferait un maitresse qui part en sortit avec ses élèves en car. Puis le personnel va s’asseoir à l’avant de l’avion. Quelques minutes plus tard, l’avion est à l’aéroport, tout le monde descend et entre dans le bâtiment de l’aéroport pour récupérer ses bagages. Un gros homme, qui était assis à côté de Syn, un cigare à la bouche, avançait très lentement, il se tenait debout devant Syn et il n’avait pas l’air pressé. Une fois cette énorme obstacle passé, Syn attendit sa valise sur le tapis roulant. Lorsqu’il arriva, il le prit, se tourna vers la sortie et emboita le pas. Une fois dehors, il posa sa valise au sol, regarda sa monte qui indiquait 12h15, s’asseya sur un banc et attendit de voir un taxis passer.

* Ahhhh enfin arrivé !!!! Le voyage a été long, heureusement que je pend rarement l’avion. *

Cela faisant plusieurs semaines que Kokusho s'était absenté pour règler divers problèmes. Ayant résolu ses petits tracas, il s'était (enfin) décidé à rentrer en ce lieu qu'il considérait comme son foyer.

L'avion venait à peine de se poser que Kokusho se rua vers l'endroit où il pouvait reprendre son sac. Une fois celui-ci récupérée, il se mit en marche vers la sortie de l'aéroport afin de prendre un taxi. Une fois devant la sortie, son attention fut attirée par un individu semblant heureux, très heureux même, d'avoir regagner le plancher des vaches.

*me souviens de lui...On était sur le même vol...Arf, il n'avait pas très bonne mine!*

Apperçevant soudain l'objet de sa présence, il siffla:

"-Hep! Taxi!"

Quelques minutes plus tard, alors que Syn attendait toujours un taxi, un jeune homme avec un valise et une veste blanche sortit de l’aéroport. Il observa Syn avec un air pensif. Puis, lorsqu’un taxi, jaunâtre et petit, passa devant les deux hommes. Celui qui était resté debout fit un signe de la main à ce taxi pour qu’il s’arrête, ce qu’il fit. Le chauffeur descendit, pris la valise de l’homme en blanc et la mit dans le coffre avant e regagner sa place au volant du véhicule. Syn ne fit pas vraiment attention sur le coup puis se dit soudain.

* Tien, un taxi… UN TAXI ???? Merdum… je vais le raté *

Syn s’empara de sa valise d’une main vive, et accourut en direction du taxi. Il n’espérait plus l’avoir, il vit la portière du chauffeur se refermer, suivit de celle du passager. Il arriva au taxi juste avant qu’il ne démarre. Il tapa à la fenêtre du passager et lui fit signe de la faire descendre. Ce qu’il fit.[ ^_^ ] Syn demanda se pencha vers l’ouverture et s’adressa à l’homme passager.

« Je peut monter avec vous ? »

Syn ne sait pas vraiment où il va mais il n’a vraiment pas envie de marcher, de plus le temps s’annonce pluvieux dans la prochaine heure.

Alors que le taxi de kokusho allait repartir, le jeune homme qui était en train d'attendre sur le banc se leva et se rua vers la portière de kokusho.
Pensant à une menace, celui-ci commença à convoquer les esprits.
Son agresseur lui fit signe de baisser sa fenêtre.
*Tu veux me provoquer de vive voix? Très bien, ça va saigner! Je vais te...*

-je peux monter avec vous?
-hin? Quoi? Heu...ouais, pourquoi pas...

*Oups, erreur sur le gars on dirait...*

Alors qu'il s'écartait pour laisser le jeune homme monter, il dit d'une voix qui se voulait ferme:

-Moi, c'est Kokusho, ravi de te connaitre.

L’homme du taxi accepta que Syn l’accompagne, celui-ci ouvrit la portière se pencha et monta. L’intérieur du véhicule est noir et gris, le tableau de bord est gris métallisé et plutôt avancé niveau technologie. Il indique les km/h avec un précision déconcertante, l’heure, le temps extérieur et intérieur, un GPS intégré et, bien évidement le compteur. Syn trouva tout cela exagérer pour un taxi.
Quelques minutes plus tard, Syn toussota deux seconde et l’homme à côté de lui se présenta.

« -Moi, c'est Kokusho, ravi de te connaitre. »

Il était plutôt aimable bien qu’il avait parut un peu énerver lorsque Syn tapa à la porte. Syn, en gentil homme, salua l’homme et lui retourna les présentations.

- M.Doe, Syn Doe. Enchanté. Je doit vous remercier pour m’avoir sympathiquement accepter dans votre taxi.

Puis il se demanda dans quelle direction ils partaient. La ville est grande et les rue se ressemble. Les immeubles sont haut et les piétons nombreux malgré la plus qui commençait à tomber. Syn avait un air livide, comme s’il il n’était plus là. Puis il sortit de ses pensées, secoua la tête et se tourna vers Kokusho.

- Où allons nous ?

L'étranger avait l'air pensif. Soudainement, il demanda:

- Où allons nous ?

Kokusho ne put retenir un petit rire en entendant cette question.

-N'est-ce pas évident? Cette ville est un trou et elle ne brille pas par son attrait touristique. A voir ton air égaré, tu ne vien pas du coin...De fait, tu ne viens pas voir de la famille. Une seule conclusion s'impose: tu vas toi aussi au pensionnat. Cela parait plus que logique quand on sait que cet endroit est à peux de choses près le seul endroit à visiter...Me serais-je tromper? Si tel est le cas, je te prie de m'excuser.

Kokusho se mit à rire soudainement, Syn ne comprenait pas ce qu’il y avait d’amusant dans ses dernières paroles. L’homme en chemise blanche dit alors que l’évidence était là. Que la ville était en quelques sorte inutile et que rien n’y était intéressant. Puis il parla de la famille de Syn ce qui le mit mal à l’aise. Pour Kokusho, la seule raison d’être ici était un pensionnat aux alentours de la vielle ville. Syn ne connaissait pas le pensionnat non plus.

- Je ne sais pas où je vais. Il y a peu, je me suit réveiller dans un hôtel à Manhattan, vu que je n’ai pas, ou plus de maison… Et donc à mon réveil, j’ai trouvé un billet d’avion sur la table de ma chambre. Comme rien ne me retient nulle part, j’ai décider de partir, et il m’a emmené ici.

Syn, un peu frustrer par les paroles de Kokusho, esquissa un sourire et se retourna vers la fenêtre.

-Mais je serait ravis de venir avec vous !

*cool, f'rais pas carrière en tant que détective, moi!*

-désolé, je pensais que tu étais...comment dire? L'un des notres...Enfin, passons, désolé d'avoir pris les devant comme ça. Si tu le désire, je peux demander au chauffeur de faire un crochet par le centre. Toutefois, comme je te l'ai dis, c'est un endroit aussi animé qu'un cimetière la nuit... Si j'étais toi, je monterais au pensionat. Les proprios sont assez sympas et il te laisseront sans doute rester le temps que tu saches quoi faire. Enfin, à toi de voir...

Kokusho s'excusa ai pres de Syn, qui lui expliqua que ce n'était rien. Lorsque l'homme en blanc dit à l'autre qu'il pensait qu'il était des leurs. Syn trouva cette phrase un peu sectaire. Et il commenca à se poser des questions sur l'homme en face de lui.

* Que me veut il ? Comment ca des leurs ? *

Mais son instinct de voleur reprit le dessus. Les sectes on souvent beaucoup d'argent, il suffisait de les espionner pour que l'argent tombe entre les main de Syn. Kokusho proposa alors à Syn d'aller dormir au pensionnat.

- Non ca ira, pas de crochet, je vait aller avec vous. Et en quoi consiste cett... ce pensionnat ?

Le taxi roulait toujours, il se dirigeait sur une route gelée dans les collines, les bois entourait celle-ci. Syn toucha la vitre pleine de buée, et fit disparaitre cet amas de fumer en quelques secondes. Ainsi il pouvait voir à l'exterieur de la voiture. Au loin, on voyait un fumer de cheminer par de-là les arbres. Surment le pensionnat temps convoité.

-Regarde, on est bientôt arrivé. Plutôt pas mal comme bâtiment, pas vrai?

Alors que Kokusho prononçait ces derniers mots, le taxi s'arrêta devant les grilles de l'entrée principale.
Devant eux se dressait le batiment dans lequel il avait passé quelques mois il y a peu.

-Haaa, enfin de retour!

Pressé de rejoindre sa chambre, kokusho se dirigea vers le coffre, l'ouvrit et y prit son sac. Ensuite, il se dirigea vers l'avant du véhicule et glissa quelques billets au chauffeur. Cela fait, il sonna au parlophone qui se trouvait à côté de la grille.

-oui?
-Je suis l'élève Kokusho. Mon arrivée à dûe vous être annoncée.
-Exact, veuillez franchir la grille s'il-vous-plait.

Sur ces derniers mots, les grilles commençèrent à s'ouvrir.

Sans se donner la peine de se retourner, il lança à Syn:

-Alors, tu viens?

FINI !!!!

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