La lune comme lampe de chevet [libre =p]

Une paire de jambes ballottaient l'air sur un rythme constant, le fouettant en lignes droites et invisibles. Si l'atmosphère pu sentir la douleur, elle aurait poussé des plaintes étouffées, maudissant un duo de rangers. Ces chaussures ne se lassaient guère de ne plus toucher le sol, bien au contraire, elles se contentaient de gifler de plus belle tout oxygène présent dans la cuisine. En outre, c'était d'ailleurs une sombre pièce: pas un membre du personnel dans les environs. Un lieu vide où seules des pompes en cuir commettaient un délit envers l'un des cinq éléments étaient ici. Les murs indescriptibles se vidaient de détails sous l'obscurité. A moins d'être ici depuis longtemps, personne ne pouvait deviner quel genre d'ustensile se trouvait dans l'ombre. Peut être un frigidaire plaqué à la paroi, avec de jolis aimants récoltés dans les yogourts sur la porte, ou bien une horloge tiquettant sous des "tac" ainsi que des "toc" interminables. Ou encore un menu, celui de la semaine précédente? Oh oui! Qu'avaient donc dégusté les pensionnaires depuis peu?
Pas grand chose d'intéressant d'après les pensées de la paire de rangers.

Les pompes se frôlèrent les unes contre les autres après une cinquantaine de minutes à violenter l'air. Petite pause café, un moment de répit où elles pouvaient se toucher afin de converser en paix comme deux paires de groll normales. Bien sûr qu'elles sont vivantes! Vous ne connaissez point "géox la chaussure qui respire"?
STOP!
Travelling arrière, on quitte le gros plan; on enlève le zoom. Là ce n'est plus des trucs en cuir sur lesquelles un oeil invisible se pose, mais sur un être humain.
Age indicible, plutôt jeune. Race blanche, sans aucune nationalité spécifique; européenne? Sexe? Homme à première vue. Quoi que étant donné la délicatesse méticuleuse que met cet individu à la tâche... De ses doigts fins.
Les rangers reprirent leurs battements, martyrisant l'air presque avec gaieté. Ensuite les heures passèrent, il fut temps pour la petite aiguille de toucher le numéro trois... il entend un bruit de pas?
Il se rassit à sa place, tendant l'oreille. Quelqu'un était là...

-Serais-tu pris ou alors prise par un petit creux au beau milieu de la nuit?

lança-t-il à l'être qu'il ne percevait point encore.

"Montre-toi à la lune..." pensa -il

Il posa ses doigts sur sa cheville, entre le cuir des pompes et de ses chaussettes, sontant un objet familier. Simple précaution...

Il faisait nuit, mais quelqu'un ne dormait pas. Le stress ?! L'envie d'accomplir un quelconque méfait ?! Non, juste un cauchemar, un vieux souvenir hantant les nuits, une envie de voir sa famille, les trois dernières personnes qui lui étaient chères, qui étaient encore en vie et qui lui manquaient terriblement. Ne prenant même pas la peine de s'habiller, une paire de fines jambes presque nues se faufilaient dans les couloirs, rasant les murs, descendant les escaliers avec rapidité et silence. Elles avaient l'air pressé et pesantes à la fois, quelques heures de sommeil n'avaient pas suffi. Elles se dirigèrent, portant leur propriétaire comme elles le pouvaient, manquant de force et de repos, vers la cafétériat, et, pas la même occasion, la cuisine. Car oui, la propriétaire, une jeune femme, de la paire de jambettes avait maintenant faim et n'allait pas laisser son estomac vide plus longtemps. Uniquement habillée d'un vieux tee-shirt trop grand pour elle qui lui descendait à mi-cuisses, les cheveux un peu en bataille, pas eu le temps de les coiffer, et puis, de toutes manières, elle pensait être la seule debout à cette heure-ci. Quelle erreur de sa part de penser qu'à trois heures du matin, d'autres jambes n'étaient pas actives et dans la même pièce dans laquelle voulaient aller les siennes. Ses sens étant pas mal ralentis, elle ne sentit la présence de l'inconnu que lorsqu'elle le vit. Elle allait rebrousser chemin lorsque ce dernier lui parla. Visiblement, elle avait dû faire assez du bruit pour se faire entendre. La jeune fille savait bien que l'inconnu n'allait rien lui faire de mal, que ce n'était qu'un pensionnaire tout ce qu'il y a de plus normal, car oui, posséder des pouvoirs était pour elle quelque chose de normal, vu qu'elle ne connaissait que cela depuis deux années maintenant et que le fait qu'elle en avait aussi jouait beaucoup. D'ailleurs, l'absence d'une bonne nuit de sommeil léger et doux leur manquaient à eux aussi, mais, bien obligés de suivre le rythme de vie d'une personne qui n'était pas de faire des mauvais rêves ou de bouger sans arrêt, ils étaient eux aussi diminués. C'est pourquoi la jeune demoiselle ne les utilisa pas pour obtenir l'identité du jeune homme. Elle avait identifié le sexe de la personne grâce à son timbre de voix, ses yeux, qui étaient encore remplis de sable du marchand, n'étaient pas tout à fait aptes à voir quoi que ce soit de particulier dans le noir. Néanmoins, elle parvint à savoir le geste du jeune homme vers ses rangers. Elle marcha tranquillement vers le réfrigirateur, en quête d'une substance suseptible de lui caler le ventre pendant un petit moment, juste pour qu'elle puisse retourner finir sa nuit dans les bras de Morphée, sans autre interruption.

- Ne sors pas ce que tu as dans ta chaussure, je ne te veux aucun mal..... Je ne suis même pas en état de marcher plus de dix minutes, j'en viens à me demander par quel miracle je suis encore debout.....

Sa voix était rauque et faible, elle était asséchée par de nombreuses heures sans boire ni sortir un seul son. La jeune femme ne ronflait pas, c'était plutôt la spécialité de son compagnon et garde du corps, Stuki qui devait dormir à poings fermés, sans se douter ni même se soucier de ce qu'il pouvait arriver à sa maîtresse. Cette dernière prit un truc à manger et s'assit en face du jeune homme.

[Désolée du post, je me fais engueuler par mon père]

Du sons des pas c'était surement une fille ceci n'ai guerre le pas d'un homme.

Puis celle ci marchait jusqu'à le réfrigérateur la il la vit une jeune fille d'environs 17 ans

comme lui d'ailleurs... les cheveux long brun?noir? Marron? Il ne savais pas avec cette lune qui ne servait a rien d'après lui...la, la lune fait se fait paraitre dans la pièces... la jeune fille était habiller d'un tee-shirt trop grand pour elle et qui lui arrivait a mit cuisses. Sabako ne faisait aucune attention a cela car lui n'était pas pervers a apport au autre homme du pensionnat ou même hors du pensionnat... il la fixé avec ses yeux azure il voulait parler mais la jeune fille au tee-shirt trop long pour elle l'avait devancer.

"-Ne sors pas ce que tu as dans ta chaussure, je ne te veux aucun mal..... Je ne suis même pas en état de marcher plus de dix minutes, j'en viens à me demander par quel miracle je suis encore debout....."

as ses mot sabako remit se qu'il avait dans sa chaussure as sa place. Il regardait maintenant la jeune fille qui était assis face de lui... la jeune fille avait pris des truc a grignoté a 3 heure du matin? Cela était bizarre mais pas plus qu'un mec sois dans les cuisines as minuit et reste pendant 3 heure et maintenant il discute avec une jolie jeune fille? Cela n'était pas très logique d'après lui bien sur!
Il attendit déjà un bon moment avant de répondre mais la c'était plus de 5 minute sa commençais a être loure il cherchait ses mots et la il les avait trouvé

- On ne sais jamais sa aurais pu être un psychopathe ou au assassin qui aurais pu arrivé a ta place je veux dire a votre place...

une movaise habitude de dire vous a toute les jolies jeune fille ? Sa il avait pris une sacré movaise habitude dit donc... Il regard maintenant le frigo essayant de lire se qu'il y avait d'écrit dessus.
Puis il déposa un de ses coudes sur la table la il tourne légérement sa tête vers la jeune fille et lui dit d'un ton normal.

- et puis je n'aurais jamais pu frapper une jeune fille...

a ses mots il se tourne vers elle lui sourit puis regarde par la fenêtre de la ou pouvais voire la lune éclairé la pièces de la cafétéria et a côté la cuisine avec le fameux réfrigérateur... D'ailleurs il n'avait même pas mangé depuis qu'il était la il se leva puis pris quelque sucrerie cela il les mangeaient 24 heure sur 24 il repartit as sa place pour les mangeaient la il avait fini le paquer en quelque seconde... Et puis les sucreries il en mangeait même la nuit voyer vous...

[pas grave il est quand même bien ton poste ^^]

Eléonore prit la pomme qu'elle avait sorti du frigo (je sais, c'est bizarre, mais bon) et croqua un coup dedans. Elle était parfaite, juste assez mûre, et justeuse à souhait. Le jus coula dans sa gorge, hydratant quelque peu sa bouche et ses cordes vocales. La jeune fille mâcha lentement, ses dents n'étant pas encore réveillées elles non plus. Le jeune homme en face d'elle mit cinq bonnes minutes avant d'ouvrir la bouche et d'émettre quelques sons, qui, mis bout à bout, donner des mots, puis une phrase.

"On ne sais jamais sa aurais pu être un psychopathe ou au assassin qui aurais pu arrivé a ta place je veux dire a votre place..."

Au moins, il avait rangé l'objet qu'il comptait peut-être utiliser. Eléonore sourit lors qu'elle entendit les paroles de l'inconnu : psychopathe, elle ne l'était pas, ça c'était sûr, mais assassin.... De vieux souvenirs profondément enfouis ressurgirent, pas si vieux que cela si on comptait le jour où elle avait simulé sa propre mort. Oui, Eléonore était un assassin, mais elle ne tuait jamais sans raison, c'était principalement pour protéger les personnes qui lui étaient chères, qu'elle avait appuyé sur la détente, serra la corde, poussait dans le vide. Elle secoua la tête pour se changer les idées, chasser ses vieux fantômes dont elle ne voulait plus entendre parler mais qui revenaient, comme de vrais spectres. Par contre, elle n'aimait pas trop le vouvoiement, à ce qu'elle sache, ils étaient tous égaux dans ce pensionnat, et de plus, le jeune homme semblait avoir le même âge qu'elle, alors pourquoi une marque de politesse, amenant pour elle à la supériorité de sa personne ?! Elle détestait se sentir supérieure, cela ne lui rappelait rien de bon.

- Moi, c'est "tu", sinon, c'est moi qui serait obligée de te frapper....

Sa voix n'avait toujours pas repris son timbre naturel, celui d'une jeune femme, pas trop aigu, ni trop grave, sans accent particulier, malgré son appartenance à un pays étranger. Continuant à manger avec un appétit feint son fruit, elle regarda son interlocuteur se levait et allait prendre des sucreries. La jeune fille ne grimaça pas, même si l'envie était forte : elle n'aimait pas vraiment les produits alimentaires trop sucrés, trop salés ou trop gras, et les sucreries faisaient parties de sa liste noire. Mais, après tout, ce n'était pas son problème, elle n'y touchait pas, c'est tout. Le jeune homme se réinstalla et Eléonore laissa un long silence pesait. Elle finit sa pomme et la jeta derrière elle. Il y avait bien entendu la poubelle, et le trognon atterrit directement dedans, sans toucher autre chose que le clapet du cylindre en plastique. Elle alla prendre une serviette avec un peu d'eau pour s'essuyer les doigts et les lèvres avant de regarder le jeune homme de ses yeux azurs.

- On va rester encore longtemps sans parler et sans apprendre à se connaître ?! Pour information, moi, c'est Jacks....

[Je pense que ce soir, je ne dépasserai probablement pas cette limite, sauf miracle. Mais ne change pas ta façon de Rp, ça me motive !! ^^']

Rien ne change un long silence se fait connaître dans la pièce mal éclairé,
il devait maintenant être trois heure trente est 40 seconde du matin mais sabako n'avait toujours pas sommeille. Il trouvait logiquement le sommeille vers les cinq heure du matin, mais la il n'était que trois trente-un et 01 s vous allez me dire que compter le temps qui passe n'est pas son pastent favoris, mais a aide as passer le temps.
La jeune fille casse le silence et dit d'une vois simple,

''Moi, c'est "tu", sinon, c'est moi qui serait obligée de te frapper....''

Le frapper? Elle pouvait de toute façon il ne peu ressentir la douleur et puis vouvoyer les jeunes fille de son âge n'était pas trop la classe d'après sont père... mais bon maintenant que la jeune fille
lui as dit qu'il pouvais lui dire tu alors il le ferait. [60 seconde] maintenant l'horloge indique trente-deux et 0 s il était temps de parlait mon vieux [10 seconde] il pris la parole d'un ton gentil comme
as sont habitude et normal.

-D'accord! Ok ok je vous dirais ''tu'' ^_^ ! et puis me frapper Tu peux toujours je n'aurais sans doute pas mal.

Dit-il la fin de sa phrases en souriant j'espère qu'elle ne la pas mal formulé car il n'avait pas du tout insinuer que la jeune fille n'avait pas de force. Car même lui il savait qu'il y as des jeune fille qui avait la même force que les garçons mais celle ci elle sont rare. [ 50 seconde]
l'horloge avec ses tic tac se bruit qu'il a temps entendu avant quand haruna lui disait que sont copain n'était pas encore réveiller et que sont tic tac au cœur lui manquer oui le copain a haruna l'une de ses amis d'enfance qui traité comme sa propre sœur avait une pendule as la place de sont cœur quand il était dans un autre pensionnat il avait ses tic tac qui lui explosé ses oreilles longueur journée [35 seconde] voilà deux minute que le silence régre et que cette stupide pendule mêne le silence encore une fois la jeune fille parle.

''- On va rester encore longtemps sans parler et sans apprendre à se connaître ?! Pour information, moi, c'est Jacks....''

Jacks? Elle as bien dit Jacks? [ 60 seconde] jacks n'est pas un nom de garçon?
Non... c'est un travestit o_o as ses pensé il remue la tête de gauche a droite
non impossible le nom de fait pas la personne voyons! Alors arrête de pensé des connerie...
[ 20 seocnde] voilà que la pendule indique trois heure trente-cinq le temps passe doucement dit donc. Il tourne sa tête vers la jeune fille en lui souriant

-enchanté moi c'est sabako.

Il avait toujours ce ton as la vois qui laisse pensé que le jeune homme se moque des autres
en lui répondant gentiment mais se qu'il le connaisse bien savent [ 45s] qu'il ne fait pas sa exprès et que cela est sa vois naturel.

- tu dois avoir 17 ans? Non?

Il ne pouvais pas posé les question « quelle age a tué » ou encore « c'est quoi ton pouvoirs? » ses question la était trop banal donc il les re formulais pour ne pas parâtre louche [ 15 s]
le jeune homme se fait droit sur la chaise pose ses coude dessus la table en regardant dehors la lune, le vent qui souffle la poussière qui s'envole as cosse du vent il s'en passait des choses dans se pensionnat dit donc. trois heure et quarentre minute et cette fois pas de seconde.

[dsl du retard! javais des choses a faire sur mon pc avant de rp!]

sabako ne pensait pas vraiment se qu'il avait penser... en plus sa se voyer qu la jeune fille n'était pas un travestit après tout il n'en savait rien! quand il regard par la fenétre la lune vait disparu le temps commençais as se couvrir.

"Tu crois vraiment que c'est mon vrai prénom ?! Et que que je suis travestie ?!"

sabako fit une de ses têtes quand éléonore pronomça le dernier mots il avait a se moment la les yeux grand ouvert
il se tourna vers elle et dit...

je... ne pensais pas vraiment.... et puis je pense que se n'est pas ton vers nom attend comment ta fait sa toi ? lire dans mes pensés?

quand il eu fini la fin de sa phrase un orage retenti,
les éclaires se faisait de plus en plus fort effectivement les éclaire rentré dans la piéce sombre sabako se leva ne trouve pas l'interupteur pour la lumier alors il ouvra le frigo regardant se qu'il y avait a l'interieur

*Un lapin mort, du poisson O_o" de l'anguille fumer..*pense celui-ci

puis une vois retentit a la fois triste et mélancolique

"-Ca dépend de quel âge tu parles !! Pour tous ici, dans ce pensionnat, et même pour mon frère et mon meilleur ami, j'ai dix-sept années à mon compteur, mais pour ce qui est de la réalité, la date de naissance inscrite sur mon acte de naissance m'est totalement inconnue, je ne peux donc pas te dire si j'ai bien dix-sept ans, si j'en ai seize ou vingt....."

le jeune homme refermi le frigo en prenant une mousse au chocolas, ensuite il retourne s'asoire a sa place normal
et regarde le goutte tomber

- bin! tu n'a qu'a allez a la mairi pour la demander! ou alors demande a tes parents...

sabako continu de regarder les gouttes tomber tout en mangeant la mousse au chocolas...

"-Je pense que tu dois avoir le même âge que moi, ou peut-être un tout petit peu plus jeune, je me trompes ?!"

sabako afficha un sourir puis se retoune vers éléonore
il avait 17 ans et 6 mois xD aujoud'hui! et un jour 3 heure et 30 seconde.

- hum... oui j'ai 17 ans ... dans 6 moi j'aurais 18.

dit il en changeant sont regard vers le frigo qui était maintenant encore ouvert car il y avait un chaton qui avait pris un poisson dans le frigo par contre le poisson n'était pas très frai donc le chaton serais malade après.