Balade Morbide [Duo avec Jackounette]

Voilà, à peine arriver dans se monde de fous, de sois-disant, humains, déjà on l'avait jetter de chez elle. 1 mois passé dans un laboratoire, son ' père ' lui aait fait subir plusieur tester, avant de se rendre compte que sa création ressemble simplement à un humain d'oté de capacité musical étonnante. Miku, là, au milieu des tombes, juste devant l'entré du cimetier. Miku réfléchit à ses derniers instants avant d'attérit dans ce pensionnat pour les personnes aux pouvoirs surnaturels. Déjà, un point commun, puis vient qu'eux, ces personnes, sont humain et elle n'ai qu'un simple logiciel, d'apparence humaine. Une phrase réssona dans la tête de Miku.

* Les robots ne sont pas conçut pour avoir des émotions, ils ne sont là que pour nous écouter et obéir aveuglément aux ordres que nous leurs ordonnons. *

Pas d'émotion ? Alors Miku ne ressentait pas une rage certaine contre ses stupids scientifques ? Eux, qui non d'yeux que pour leur science et leurs découvertes, ils n'ont même pas de vie privé. Alors pourquoi un robot n'aurait pas le droit d'avoir des sentiments ? Déjà, rien que le terme de robot enragé notre androïd, elle se prend pour un humain à part entier, n'acceptant pas que l'on la traite autrement. Androïd, humanoïd ou même nendroïd lui plaisait plus. C'est bien plus gracieux que robot, ce mot qu'elle redoute souvent lors qu'elle aborde son sujet, son histoire. Une histoire ? Elle ? Miku n'a pas vraiment d'histoire, là son défaut. Naitre d'un court-circuit n'ai pas très réjouissant, même si cela lui donna vie. Réfléchir, encore et toujours, Miku rechercher une quelqu'on petite image de son passé. Juste un éclair jaunâtre, puis plus rien, peut être le visage de son père, lui, se scientifque au coeur tendre. Miku aime son père, ne le cache pas, mais si se scientifique la abandonné, elle l'aimera toujours. Shito Akatsuki, son père qu'elle ne cesse de se répéter dans la tête, il ne lui refuser rien, sauf peut être, de s'approcher du disque dur et de l'appeller papa. Pourquoi son père refuse qu'elle l'appelle papa ? Miku ne sait pas vraiment pourquoi, pourtant, elle se rapelle des moments qu'elle passait avec son père. Sa création, son père n'est d'autre que son créateur me diriez-vous, mais Miku ne le prend pas comme ça. Sa nature naïve lui fait comprendre très vite que la seule à qui elle peut avoir confiance, c'est bien la premier personne qu'elle ait vu. Bien, après se retour en arrier, rien n'explique comment Miku se retrouve ici, par mis des tombes. Remonter le temps, voilà se que pense Miku. Beaucoups lui on répété qu'elle n'avait rien à faire ici, qu'elle n'est pas réel ou bien que sa durée de vie est courte. Beaucoups, très souvent ces scientifiques ne croyant à peine le miracle que le Dr. Akatsuki est crée. Se prodige nommé Miku. Simple expérience raté ou complexe expérience avec des défauts ? Cela laisse le doute.

Pourquoi venir au cimetier alors que l'entré du pensionnat est moins morbide ? Le calme sûrement, Miku entra dans le cimetier comme quand on entre dans une maison, mais sans frapper à la porte. Miku cherche une compostion pour le thème du cimetier peut être ? Peu sûre, elle chercher sans comprendre derrière les tombes. Avait-elle entendu quelque chose ? Nous avons même oublier de décrire notre Miku, comment est-elle habiller ? Simplement, les habilles habituels, sa jupe noir courte aux bords bleus, son débardeur de même motif, ses longues bottes noirs et toujours ses chouchous carrés sur ses cheveux en longues couettes retombant dans son dos. Miku se tenait debout, le vent agiter doucement les arbres sans feuilles, presque sans vie, ainsi que la chevelure bleu de notre androïd. Le regard vide fixant un caveau fissurait du mur jusqu'au toit. Puis, Miku eu une idée, enfin un début de partition, quelque réglage sur sa manche. Sa manche, la clé de son pouvoir, outre sa magnifque voix qu'elle peut modifier à volonté. Sans sa manche, elle ne pourrait pas inventer de fond sonore. Là, stop. Miku aurait une ouïe très dévelopé, même avec son fond musical, elle écoute. Ecoute quoi ? Ces bruits de pas, se raprochant de Miku. Elle porta sa main sur sa manche pour baisser le son, puis fixa dans la phénombre une forme. Celle de quelqu'un, d'apparence humaine. Sans baisser des yeux, elle continue de la fixer.

Quand Eléonore ouvrit les yeux ce matin-là, elle ne pensait pas tomber sur une expérience sous forme d'humanoïd dans un cimetière. Elle pensait plutôt passer une journée tranquille à aller rendre visite à quelques commerçants de la ville, les aider, peut-être, leur donner un peu plus le sourire. Ainsi était à présent ses journées au sein du pensionnat magique.

Ce fut donc ce jour-là qu'elle décida encore une fois d'aller prêter mains fortes et pouvoirs forts à la fleuriste. Il s'agissait aussi d'un jour spécial pour la jeune femme : cette dernière avait en effet décidé de retrouver sa couleur de cheveux naturelle. Avant de passer faire quelques livraisons, elle entra chez le coiffeur, lui demandant de redonner la couleur d'origine à sa chevelure, et de les couper quelque peu, les cheveux châtains qui lui tombaient au milieu du dos, elle en avait assez. C'était l'heure des grands changements, la jeune ex-châtains le savait et avait bien l'intention d'y participer, à sa façon, bien entendu.

Elle ressortit du magasin une demi-heure plus tard, la chevelure jusqu'à ses omoplates et d'un joli blond. Elle avait gardé sa frange, et ses yeux étaient à présent bleu-violet, leur couleur depuis leur ouverture, il y a dix-sept ans. Il faisait plutôt froid en cette journée d'hiver, aussi Eléonore s'était habillée en conséquence : un pull en laine noir à col ainsi que son jean noir avec sa paire de chaussures habituelle. Elle n'avait pas vraiment disparu sous sa forme d'Eléonore Jackson, car son visage était toujours le même, juste avec quelques modifications d'ordre minime, mais qui avaient de l'importance pour la personne. Elle voulait être de nouveau elle-même, et personne ne pouvait à présent l'en empêcher, pas même ceux qui la recherchaient. Qu'ils viennent, elle les attendrait de pied ferme, et les tuerait, tous, sans exception, et sans pitié. C'était d'ailleurs une des questions que la jeune femme se posait souvent : comment faisait-elle pour ne rien ressentir lorsqu'elle tuait, alors que lorsque quelqu'un qu'elle aimait et qui lui était proche est malade, par exemple, elle a mal, au fond d'elle-même, et parfois, s'évanouit, de façon surprenante. Elle souhaitait des réponses à cette question, mais personne ne pouvait lui en fournir, personne ne savait, et personne ne saurait quelque chose. C'était ainsi, et il fallait s'y faire. Eléonore regarda sa montre : elle allait être en retard avec toutes ces pensées qui la traversait. Elle courut jusqu'au magasin où l'attendaient déjà quelques cartons à remettre à leur destinataire impatient.

Après avoir marché dans toute la ville pendant de longues heures, se téléporter, téléporter les choses. La jeune femme eut rapidement finir sa tâche. La vieille fleuriste la remercia chaleureusement et Eléonore s'en alla. Elle marcha un peu sans réfléhcir, juste en laissant ses jambes faire ce qu'elles avaient envie. Le vent soulevait ses cheveux nouvellement réssucités, le froid passait dans son cou, ce qui lui valut un léger frisson. Elle se rendit enfin compte de là où elle avait atterrit : devant le cimetière. Etonnée, la jeune femme ne comprenait pas pourquoi elle était ici, mais se risqua quand même à pénétrer dans le lieu des morts, par simple curiosité.

C'est alors qu'elle l'entendit : la musique, proche, puis affaiblit, par quelque chose, ou quelqu'un. Eléonore marcha discrètement vers l'endroit où elle avait perçu cette mélodie, et aperçut bientôt une jeune fille de son âge environ. Cette dernière la fixait, étrangement. La jeune nouvellement blonde passa une main dans ses cheveux, l'air un peu embarrassé.

- Excuse-moi, j'ai entendu du bruit, je me demandais ce que cela pouvait être !! J'ai cru un instant que......

Eléonore s'arrêta et quitta des yeux l'inconnue. Son regard se posa sur une des tombes, celle sur laquelle la jeune femme passait tous les mois, pour apporter des fleurs, et pour parler à quelqu'un, qui même sans rien répondre, l'écoutait, elle en était sûre. La jeune pensionnaire soupira. Et reporta à nouveau son attention sur sa nouvelle rencontre.

- Oublie ce que je viens de dire, c'était une intervention inutile !! Tu es là pour qui, toi ?!

La jeune femme montra du menton les tombes parmi lesquelles elles se trouvaient, tout en gardant un oeil sur la personne en face d'elle, qui lui semblait bizarre, spéciale, encore plus que les pensionnaires avec leurs pouvoirs. Quelque chose en plus, en mieux ?! Elle ne savait pas, juste en plus. Avantage ou inconvénient, l'avenir lui dira peut-être.

Une blonde embarrassé de qui ? De se trouver face à quelque chose de presque humain ? Ou simplement embarrassé pensant que notre Mik venait se recuelilir sur une tombe d'un défunt ? L'interlocutrise qui se tenait devant elle avait un timbre de voix assez embarrassé à la premier phrase qu'elle lui déclara, ou bien parce que Miku la fixer bizarrement, puis son timbre changea, un peu plus sûre d'elle. Oublier ? Comment oublier cette voix embarrassé qu'est la sienne. Miku porta son regard sur les lèvres de la blonde. Puis elle lui désigna les tombes, en lui demandant pourquoi elle est ici. C'est une bonne question, elle-même ne le saivait pas. Miku quitta le visage de cette blonde pour regarder autours d'elle, des tombes. C'est ainsi que finissent les humains qui on en finit avec leur vie. Dans de la terre creuser, ils reposent en paix, par un couvercle de béton, de piere gris, noir ou blanche. Des fleurs décorant les socle en béton, des écriture sur des plaques. Les humains rendent donc hommage à leurs morts. Froid ? Il fait froid ? Bien, notre Miku ne perçois pas le froid, juste une très haute température qui serait capabale de la faire fondre. Miku reposa son regard sur la jeune femme, la regardant avec attention, elle remarqua qu'elle avait la même apparence. Quand je vous dis ça, je veut dire par l'âge physiquement, car Miku ne connait pas réelement son âge, sauf peut être que le Dr. Akatsiku lui ait dit qu'elle ressemblait beaucoups à une jeune femme, dans la vingtaine, sans d'autre précision. Miku remarqua aussi que la jeune femme portait des vêtements simple et noir. Un pull, un jean et des chassures, le tout pour lutter contre le vent froid. Miku était habillier courtement, voir même que très peu. Elle devrait donné froid à tous ceux de nature fragiles et qui ont souvent froid. Puis elle osa répondre d'une voix normal, comme-ci rien ne la gêné :

« Je ne suis ici pour personne. Je ne sait même pas pourquoi je suis ici. »

Réponse courte et franchement inutile. Elle donne même pas des informations supplémentaire pour aidé cette humaine a mieu comprendre la situation. Enfin, mieu comprend la ' chose ' qu'elle avait en face d'elle. Cette ' chose ' n'est d'autre que Miku, même pas une ombre de vie, mais elle est bien réel. Ne me dit-pas qu'elle à un souffle de vie parce qu'elle éxite, mais vous ne pouvez pas comprend comment une petit logiciel de plusieur Go c'est retrouver ici, dans se monde. Vous me répéterez sans vous lassez qu'elle est née d'un court-circuit, pour-suivit par une pseudo-policère du P.C. cherchant que la desctruction de se logiciel ayant pris vie dans ce monde réel. Alors pourquoi vous trainez encore là, aller éteindre votre P.C. pour éviter que cette même chose arrive. Comment ? C'est à cause du câble qui relier le disque dur externe a l'ordinateur de ce scientifique mal luné ? Certes, mais c'est pas une raison pour dire que Miku est une vrai personne à part entier. Elle n'est d'autre qu'un humanoïd conçut pour servir les hommes. Dur réalité, mais Miku n'échappera pas à cet règle. Un jour ou l'autre, elle trouveras plus fort qu'elle, plus autoritaire, qui la fera plonger pour de longues années de loyaux services à un maître. Miku ne se laissera pas faire, croyais moi, vraiment pas du genre à se laisser commander, mais tôt ou tard.

« Huu ? Tu as entendu ma mélodie... Comment tu l'as trouve ? »

Cette fois, elle porta sa main pour éteindre complètement la musique. Entendre une mélodie inconnu, qu'elle curiosité pique les humains. Cette curiosité, Miku ne sait pas si elle la possède ou non. D'après elle, elle est simplement naïve et rien d'autre. Le violon, la batterit et la guitare dans une seule manche, pas mal non ? Même trop. Elle savait que tôt ou tard, quelqu'un va comprend qu'elle, Miku, avait une chose de différent des autres pensionnaires. La blonde en doute fortement, c'est comme si Miku avait perçut un petit sois-disant indice lui disant que son interlocutrise se méfier beaucoups de Miku. Bref, après avoir éteind complétement le son, elle fixa encore la blonde, mais dans les yeux. Celle-ci avait des yeux violet et bleu. Miku attendit, attendit qu'elle lui fasse une remarque sur sa mélodie, une remarque d'une inconnue peut peut-être apporter du changement.

Cette fille était étrange, elle n'était pas comme les autres, encore plus que n'importe quel pensionnaire, qui étaient pourtant les plus étranges êtres de la planète, d'après les sans pouvoir. Eléonore ne savait pas encore ce qui clochait chez la personne en face d'elle, mais une chose était sûre, elle n'allait pas tarder à le savoir, d'une façon ou d'une autre. Pour commencer, elle n'était ici pour personne, ne sachant même pas pourquoi elle avait choisi cet endroit pour s'arrêter. Le cimetière n'était pas le meilleur endroit pour faire un pique-nique, ou pour profiter du paysage. Il avait été construit pour rappeler les morts, dont beaucoup étaient des anciens pensionnaires qui s'étaient fait rapatrier ici à leur décès, pour revenir là où ils avaient passé des journées moins terribles, là où ils avaient enfin compris qui ils étaient vraiment, ils avaient appris à s'accepter tels qu'ils étaient, et même à s'améliorer socialement. C'était un peu le cas d'Eléonore. Lorsqu'elle était arrivée, elle voulait tout changer, recommencer à zéro, tout oublier. Elle avait néanmoins conservé sa forte personnalité et son caractère violent. Elle n'avait pas été la meilleure diplomate du monde lorsqu'elle avait parlé pour la première fois à des personnes de son âge, chose qu'elle n'avait jamais fait auparavant, ne connaissant pas d'adolescents, que des adultes. Elle avait quinze ans à l'époque, et ne savait rien de la vie en communauté. Cependant, elle avait continué à vivre dans ce pensionnat, apprenant les coutumes et les douces paroles à dire en présence de telle ou telle personne, comment réagir face à des situations, sans agresser, sans blesser, sans tuer. Elle avait même été heureuse, un court instant malheureusement. Elle avait bien entendu fait de très belles rencontres, avec des personnes adorables, mais rien ne serait comme ce qu'elle avait vécu avec le père de sa fille. Elle soupira, son regard s'était détourné de la personne en face d'elle. Elle était dans ses pensées, et peu de choses pouvaient l'en tirer. Mais le petit bruit émis par cette fille la fit sursauter, un bruit qu'elle n'avait jamais entendu auparavant. Elle posa son regard sur son interlocutrice qui lui demandait comment Eléonore trouvait-elle la musique qu'elle avait entendu. La jeune femme réfléchit un peu, tandis que la jeune inconnue éteignit complètement la mélodie. Elle ferma même les yeux pour mieux se concentrer. C'était une très belle mélodie, mais quelque chose manquait, ou une amélioration pouvait se faire. Les idées se mélangeaient dans la tête de la jeune pensionnaire. Il y avait du violon, une batterie, et une guitare, un ensemble parfait pour une mélodie triste. Quelque chose devait intervenir en plus. Au début, et à la fin. Un instrument de plus ?! Sûrement, mais lequel ?! Pour jouer quelques notes, peut-être cinq ou six mesures en tout dans la mélodie. Eléonore rouvrit les yeux.

- Un piano !! Qui joue un thème au début, celui juste avant le violon, comme une introduction au tour début. Et à la fin, il termine aussi, mais par une descente, douce. Dis, tu as des paroles pour aller avec ?! Comme ça, on met le piano dans les mêmes ton que les paroles de fin, le même rythme !! Tu comprends ce que je veux dire ?!

La jeune femme venait de trouver, mais ne savait absolument pas ce que cela donnerait en réalité. C'était aussi un test pour essayer de comprendre qui était vraiment cette musicienne qui pouvait faire une mélodie aussi audible sans haut-parleur, et avec une telle précision. Même le pouvoir du son avait des difficultés à faire une telle chose, même s'il est presque maîtrisé à la perfection. C'était cela, cette musique était trop parfaite, bien qu'il manquait le piano, instrument des émotions par excellence. La jeune femme remarqua enfin qu'elle ne s'était pas présentée, manque de politesse. Mais si elle ne le faisait pas, elle était presque sûre que ce ne serait pas sa collègue qui ferait le premier pas. En abordant la première le sujet, elle pouvait insiter l'inconnue à parler un peu plus d'elle, ce qui était une bonne chose.

- Au fait, moi c'est Jacks. Je viens du pensionnat là-haut, enchantée de te connaître....

La jeune femme laissa intentionnellement sa phrase en suspens pour qu'on la complète.

La jeune femme venait de se présentait, Jacks, elle se dit pensionnaire du pensionnat. Ce pensionnat où Miku y est, elle aussi. Miku venait de rencontrer une des pensionnaires, elle semblait avoir un doute sur l'origine de Miku. Cette même personne pense qu'il faudrait rajouter un piano, Miku oublia cette remarque sur la mélodie puis, pour ne pas laisser la phrase de Jacks en suspens, elle lui repondit :

« Moi, Miku. Je vien d'arriver dans ce pensionnat. De même. »

Miku se retourna et regarda le batiment, d'après le Dr. Akatsuki, beaucoups de personne ici on la même particularité de Miku. Cette particularité est celle d'avoir un don ou autre chose. Miku en a deux de particularité : ne pas être humaine et contrôler à la perfection le son. Elle avait du mal à l'accepter le fait qu'elle ne soit pas totalement pareil que ces gens. Miku l'est, mais en apparence, elle veut faire comme eux, avoir des sentimens, avoir une histoire. Pour le moment, son histoire n'exite pas. Et comment expliquer une arriver sortant droit d'une histoire iréel. Miku devait maintenant cachée son origine, ce qui lui rapelle un mauvais moment, du temps où elle était encore dans les labos, son créateur jouait bien le jeu de ' c'est ma nièce ! ', mais Miku ne comprennait rien, et expliquait simplement, comme quand on dit à un gamin quel âge il a, qu'elle venait de 'ça'. Ce 'ça' désigne l'ordinateur de son 'père'. Bientôt, elle commença à interrésait beaucoup de chercheur, leurs questions comme " Comment elle peut vivre ? ", " C'est pas un hologramme ? " ou " C'est peut être un humainoïd, nous devrions vérifier." arrive rapidement aux oreilles du Dr. Akatsuki. Même qu'il protègeras sa 'chose' en la plaçant dans ce pensionnat, il lui vait expliquer qu'elle ne devra jamais dire son origine, qu'elle ferait mieu d'imiter les humains. Les imiters dans tout leurs mouvements, leurs sentiments. Miku se retourna et regarda Jack, si elle venait du pensionnat, cela voudrait dire qu'elle avait aussi un 'don' particulier. Miku lui demanda :

« Dit, tu as pouvoir. Vu que tu vis dans ce pensionnat. Moi aussi enfaite... »

Miku se demandait si elle devait dire le sien avant la blonde, puis, pour terminer sa phrase apèrs le petit blanc qu'elle avait laisser installer, elle reprit :

« Moi aussi j'habite dans ce pensionnat, mon pouvoir est de contrôler les sons, de le modifier, bref tout avec. Je voudrais bien savoir ton pouvoir.»

Miku se retourna et regarda Jacks. Miku avait un pouvoir qui allait parfaitement avec son histoire et l'utiliter de ce pourquoi elle a été crée. Rapellons que Miku est à la base un logiciel de musique, donc son parfait contrôle de son pouvoir. Miku espérait cacher assez longtemps sa présence pour ne plus intérrésait les scientifiques. La jeune blonde lui avait dit qu'elle pourait rajouter une mélodie de piano au début et à la fin. Miku retiend donc cette observation et attendit la réponse de la jeune femme.

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