Pensionnat Magique
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| | Pouèmes na moa | |
| | Auteur | Message |
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Aedlan Habitué
Nombre de messages : 142 Age : 33 Côté coeur : célibataire Pouvoir : change-forme Date d'inscription : 12/12/2008
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| Sujet: Pouèmes na moa Sam 13 Déc - 11:42 | |
| J'ai écrit pas mal de poèmes (et je le fait toujours ), en voici un petit extrait : Le sentier de la passion
Je parcours la terre nuit et jour A la recherche du grand amour, A petits pas je vais vers la mer, Observe cette couleur légère. Elle me confère l'espoir d'un jour, Celui où je trouverai l'amour.
Me détachant de ce paysage Je reprends mon éternel voyage, Le chemin jusqu'à toi est bien long. Maintenant je traverse les monts Dont les hauts sommets blancs en danger Me pressent vivement d'arriver.
Je vais partout où le vent m'emmène, Et je prie pour qu'à toi il me mène. J'approche des côtes déchirées, Je me traîne d'un pas fatigué, Mais je t'aperçois enfin là-bas Et je cours te prendre dans mes bras.
Au gré du vent
Capitaine d'un navire Qui vogue vers l'avenir Qui traverse l'océan S'abandonne au gré du vent
J'emmène pour équipage Un profond amour bien sage Ainsi qu'un espoir vivant Qui s'élève au gré du vent
C'est un parcours solitaire Une course téméraire Qui m'emmène doucement Près de toi au gré du vent
Puissant paradis sur mer N'est pas un rêve éphémère Pousse toujours en avant Cet amour au gré du vent
Les oiseaux de la vie
Je suis un coeur à prendre, j'ai mon âme à vendre. Dieu ! l'amour est une douce étreinte éternelle, De par ses grands yeux d'ambre elle nous ensorcelle. Inséparables séparés, tels l'amour tendre.
Enlacé dans ses bras je me suis laissé prendre, Et de ses doux baisers elle m'envoute, belle Fleur que vient cueillir l'aube, tu es l'hirondelle De paix qui vole sur mon coeur de pierre en cendre.
Mais pourtant, voici le grand faucon de la haine, Immense créature qui cause la peine, Moi qui avais cru en être débarrassé,
La voila qui jette sur moi son voile noir Et qui m'entraîne dans le puits du désespoir, Tourne autour de moi tel un vautour affamé. mon préféré : Triste vie
J'ouvre les yeux sur ce monde noir, triste ciel !
Apercevoir dès l'aube les auras du mal, Marcher vers cette lumière blanche banale.
Rencontrer toutes ces âmes perdues en peine, Fatiguées du poids de la douleur qu'elles trainent, Vile malédiction qui coule dans leurs veines.
Nous sommes tous condamnés à périr un jour, Mais pour oublier les Hommes vivent d'amour, Tentent de cacher leurs souffrances de toujours, Nous sommes tous condamnés à aimer un jour.
La vie est à tous notre couloir de la mort, Punition fatale qui prouve qu'on a tort, De croire que tout ici-bas se règle en or.
Mais enfin revenir seul chez soi tard le soir, D'un simple regard s'observer dans le miroir.
Et s'y apercevoir dans un reflet d'acide. | |
| | | Miyuri Ariyoshi Actif
Nombre de messages : 584 Age : 32 Côté coeur : Dors sur sa lune favorite... et tant aimée =3 *Shiro ♥* Hobbys : Pianooow xD Pouvoir : communication avec les nanimauw =3 Date d'inscription : 16/11/2008
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| Sujet: Re: Pouèmes na moa Sam 13 Déc - 11:53 | |
| Haaaaaaaaaaaaaan trop beauw *_* Continue =D J'adore la première et la dernière x3 | |
| | | Matthew Ryusoka Habitué
Nombre de messages : 270 Age : 31 Côté coeur : Mon coeur s'ouvrira à celle qui le mérite le plus Hobbys : Jeux video, lire Pouvoir : Champs de force Date d'inscription : 04/12/2008
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| Sujet: Re: Pouèmes na moa Sam 13 Déc - 12:02 | |
| Moi je les aimes bien tous, mais 'tite préférence pour le deuxieme. | |
| | | Aedlan Habitué
Nombre de messages : 142 Age : 33 Côté coeur : célibataire Pouvoir : change-forme Date d'inscription : 12/12/2008
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| Sujet: Re: Pouèmes na moa Sam 13 Déc - 12:13 | |
| En voila deux autres (malheureuselebt pour moi, plus vraiment d'actualité ) : Puissant sentiment
Mon amour pour toi est bien plus qu'une passion, Ce n'est ni un loisir, ni un métier, C'est la plus belle de toutes les missions, Un réel honneur que pour tes beaux yeux c'est d'oeuvrer,
Pour toi j'ai ouvert les portes de mon coeur, Tu as su trouver la clef tant recherchée, Avec elle tu as ouvert le jardin du bonheur, Tout pour toi ma belle à l'infinie éternité,
Car tu es à mes yeux la plus douce des fleurs, De celles qui n'ont qu'une seule beauté, Laisse-moi te bercer de mes dires enchanteurs, Toi qu'on peut confondre avec une divinité,
Il n'y a pas assez de mots littéraires, Pour qu'en liberté sur mes sentiments je puisse causer, C'est mon coeur qui s'impose et me fait taire, Puisque seul lui sait comment ton âme doit être caressée,
Lorsque tu es auprès de moi, ta voix Ranime les braises éteintes depuis si longtemps, Je me battrais pour toi, pour te savoir avec moi, Pour t'aimer librement de ce feu ardent,
Dans tes doux et magnifiques cheveux, J'aimerais laisser couler mes doigts, Ne te retire pas déjà de mes lèvres, reste encore un peu, J'aimerais toujours te sentir contre moi,
Je t'aime, je t'aime, je t'aime, Ces mots si beaux qu'à réciter on ne se lasse pas, Je t'aime, je t'aime, je t'aime, Ces mots si beaux qu'à réciter on ne se lasse pas,
Car ainsi s'exprime seulement ce sentiment, Car il n'y a rien d'autre dans mon esprit, Car ainsi s'exprime ce qu'il y a de plus puissant, Car c'est pour toi que je peux donner ma vie,
J'ai tant à te dire, tant à te faire sentir, Que ce poème ne saurait être un jour complet, Mon amour pour toi ne pourra jamais se ternir, Ce que j'éprouve pour toi est une vraie entité.
Pour toi
Du coeur à l'esprit et du plus profond de mon âme Tu as su conquérir mes pensées Je ne pourrais jamais t'oublier Car tu es celle qui a illuminé mes jours
Ô douce lumière insaisissable Je ne peux que t'admirer avec l'espoir de te rejoindre Tu es la collombe de paix de ma vie La rose blanche du bonheur de mon existence
Jeune fille fragile que mon amour a choisit Il me prend souvent cette puissante envie Qu'est celle de te sentir dans mes bras Et te protéger des maux de ce monde
Ta voix est une berçante symphonie Ton regard est un sublime filet de passion Tes cheveux forment la cascade de la vie Ta peau la douceur maligne sans valeur
Tu as eu le don de réchauffer mon coeur Déjà avant on te surnommé Ange Mais tu es en fait gardienne du paradis Prend ma main repose en sécurité
un autre moins glorieux : Patience
Une heure qui passe Patience La vertu ne s'acquiert pas facilement Le temps s'écoule Et je ne me sent pas plus sage On m'avait assuré pourtant Que je comprendrais en grandissant Patience Maintenant je suis grand et vieux Mais je suis mort aussi Et malgré tout ce temps Je ne comprends toujours pas Quel sens a la vie.
un qu'on pourrait classer dans la catégorie "humour" de la poèsie : La meilleur des fins
Il fut un jour où deux créations de l'Être Divin Se donnèrent par amour la main, Vécurent ensemble des aventures Jusqu'à la plus grande des mésaventures, Quelque fut leur vie on peut être assuré Qu'ils se seront toujours aimés, Et c'est avant que Monsieur ne meurs Que Madame lui offrit un dernier élan du coeur, Que Monsieur n'eut pas à mourir en lâchant un soupire Mais dans un ultime cri de plaisir. et on retourne dans le sombre : Douleur
S'il m'était donné d'ouvrir mon coeur Comme le Printemps pour une fleur, On se noierai dans ma douleur Tant j'ai l'âme qui pleure.
Et si l'on regarde en moi On saura alors pourquoi Le ciel reste bleu, Et que les gens sont heureux.
J'agis comme un récepteur, Ainsi m'a conçu le Seigneur. Je récolte tout le malheur, Pour qu'autrui vive dans le bonheur.
On se noierai dans ma douleur Tant j'ai l'âme qui pleure, S'il m'était donné d'ouvrir mon coeur Comme l'Hiver fane une fleur.
Complainte
Dans un lieu éloigné Un sentier égaré, Résonne une mélodie Un échos de la vie.
C'est une voix sombre Perdue dans l'ombre Qu'on entend chanter La complainte des damnés.
Ils se perdent dans l'abysse dévoilée, Dans le noir de leurs âmes torturées, Et écoutent distraitement Ce chant envoûtant.
Au soleil, vivants, Mais pour combien de temps ? Quand tous se détournent L'espoir s'en retourne.
On devient sourd à ses propres plaintes Et l'on se renferme sur ses craintes, Pourquoi ? Tout est futile, La vie est inutile.
Ces yeux sans éclat Qui surveillent nos pas, Ils sont nombreux Ces regards vitreux.
Cries, pleures et pries, Tant que les autres en rient Ton coeur se ferme, La haine germe.
L'amour s'envole au loin, Les doigts blancs se referment sur rien. La détresse criée est vaine Vivre n'en vaut plus la peine.
La souffrance emprisonne. La solitude, plus personne. Aucune main tendue, Ne résiste plus.
Une douleur subsiste encore, Celle qui nous endort. Un soupire annoncé, Viens avec nous, pour chanter.
Sous la lune, encore là, Se rassemblent les voix, Froides, seules, apeurées, Elles ne savent que chanter. et j'en ai encore | |
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