Un nouveau départ

Votre personnage:

Nom: Hirotaro (nom d'emprunt)

Prénom: Zenko (nom d'emprunt)

Age: 17 ans

Sexe: masculin

Caractère: Zenko est, par nature, silencieux. Il asociable, et n'aime pas beaucoup les humains... En fait, il ne les aime pas du tout. Etant élevé dans un camp où l'on vous enseigne comment les tuer, et comment les haïr, celà n'a rien d'anormal. Il aime le vent, le froid, et le silence... Il aime le vide en toutes choses. L'absence est sa raison de vivre. Il est froid et violent, ne s'intéressant qu'à son propre objectif. Aussi, il n'abandonne jamais, quel ,que soit la nature de son projet... Qui se soldera soit par sa mort, soit par sa réussite. Il déteste, par dessus tout, faire étalage de ses sentiments et de ses pensées... Peut-être apprécira-t-il de ce confier auprès de ceux qu'il aime... Mais il n'a jamais aimé personne, et c'est pas gagné...

Physique: Zenko est plutôt grand, et la cheveux d'un noir de jais. Son expression est souvent ennuyée et vide de sentiments... Il a une démarche réguliere et ferme... Il porte habituellement un blouson noir et un jean noir, auquel est accroché deux katanas, qu'il enlève pour se rendre dans des lieux publics. Son regard, mauve, n'exprime rien pour celui qui ne cherche pas... Mais celui qui connaît vraiment Zenko pourrait deviner en lui une tornade de sentiments...

Famille: Zenko n'avait d'autre famille que son unité, étant créé artificiellement...

Histoire: Nous ne sommes ni humains, ni animeaux. Nous sommes nés pour combattre, et se nourir de son adversaire... Le bien et le mal est un concept inventé par l'homme, qui s'est lui même enfermé dans sa propre prison... Nous rendrons la liberté à nos ennemis...

C'est ce qu'ils nous répètaient tout le temps. Je ne savais pas, à l'époque, à quel point c'était vrai... La plupart de nous n'étions pas né ici. Souvent, ils étaient pris tout jeune, arraché à leur village, à leurs parents, qui étaient, eux, engagé comme minier s'ils étaient des hommes, ou violer et tuer s'ils étaient des femmes. Aucun de nous ne trouvait celà anormal. Les faibles ne méritaient aucunes pitiés... Nous étions drogués, forcé à écouter à longueur de temps que nous étions au-dessus de ces pitoyables insectes... Et on finissait par y croire. Dès ce moment là, il n'était plus nos parents. On nous entassait, dans un entrepôt, comme de la marchandise. De temps en temps, quand nous étions assez agés, un homme en noir venait chercher l'un de nous... On ne le voyait plus jamais revenir. Un jour, ce fût mon tour. Un homme ouvrit la porte, et ne regarda personne que moi... Un immense sentiment de peur me saisit alors à la poitrine... je voulu m'enfuir par la porte ouverte, mais, nourrit par eux et maigre comme ils le souhaitaient, je n'arrivais même pas à me lever...

- Il est temps pour toi...

Alors il me saisit par le bras, et me traîna jusqu'à la sortie... Je fût jeté dehors, dans la poussierre de la terre rouge... Je fermais aussitôt les yeux, aveuglés par le soleil que je n'avais pas vu depuis des années... Au moment où j'ai pû les rouvrir, je vis trois ombres, au-dessus de moi... C'est alors que ça commença... Je croyais, en voyant le lieutenant Cotsi (j'appris son nom quelques jours plus tard) que j'allais mourir... Mais mon destin fût tout autre. On me mit dans une salle, vide ormis un écran accroché sur le mur, dans lequel on me forca à rester plusieurs jours et plusieurs nuits d'affilés, répètants en boucle encore et toujours le même programme. Les hurlements et la claustrophobie passés, on était obligé de regarder ce fichu programme... Où l'on voyait des images d'armes à feux, d'armes blanches, de guerres, de meurtre sanglants... Et pendant toutes ces informations, une voix grave, dénuée d'expression parlait, encore et toujours, sans jamais s'arrêter... Répètant inlassablement la cause de l'Unité 666... Là où nous étions... Ce que nous étions... L'unité 666 était une troupe de terroristes fanatiques formés à partir d'une ethnie Africaine... Le but de cette unité était de détruire de l'intérieur un gouvernement Américain corrompus et trop faibles pour prendre les bonnes décisions, en perpetuant les destructions de villages à chaques nouvelles réformes, chaque nouvelle colonie, forçant les états-unis à courber l'échine... On nous disait que nous étions les combattants de la justice, et que rien ne saurait nous arrêter... Nous étions en Guiné, mais n'y restions jamais plus de dix ans... Car l'homme fort doit savoir combattre là où sont ses idéaux, et là où ils ne sont pas... Nous étions des lions, des forces supérieurs, et nous avions tous les droits... Et surtout, on nous répètait encore et encore que les humains étaient à l'origine de toutes nos souffrances, que ce n'était que de pitoyables insectes suçant la vie de cette terre... Alors, au bout de 4 jours, on devenait violent, abrutis par une cause d'on on ignorait tout, et aveugle de rage envers les peuples de la terre... Nous étions fin prêt pour leur servire. Manipuler un homme aveuglé par la colère était tellement plus facile... Alors, à l'age de dix ans, on pouvait commencer l'apprentissage. On nous apprenait à nous battre, à partir de techniques sophisitiqués créer par une bande d'ingénieux et talentueux combattants... On nous apprenait à tuer, à n'avoir aucune pitié... Le maniment d'armes à feux, d'armes blanches... Et nous, on y croyait. On croyait en cette cause car elle était la seule chose qui nous restait... On nous appris à vivre autour d'un seul et unique principe: "Nous ne sommes ni des humains, ni des animeaux. Nous sommes nés pour combattre, et se nourir de son adversaire... Le bien et le mal est un concept inventé par l'homme, qui s'est lui même enfermé dans sa propre prison... Nous rendrons la liberté à nos ennemis..." On me nomma rapidement "l'éventreur", à cause de mon affinité pour les armes blanches et le corp à corp... Alors, au bout de trois ans, apparurent mes premiers soupçons... C'était lors d'un exercice de tir. La balle que j'avais tiré manqua sa cible et atterit non loin de la tente de nos supérieurs... D'autre avait été tué d'une balle dans la crâne pour moins que ça... Le colonel Cotsi (il avait monté en grade) s'aprocha de moi, et je me raidit, prêt à mourir... Alors il me tapota simplement l'épaule et dit d'un ton absent...

- Ca va aller, ça va aller... On a tous fait des erreurs...

C'est alors que je j'eû la forte impression d'être priviligié une impression qui s'accentua de jour en jour... malgrés ça, le temps passa, jusqu'au jour de mes quinzes ans, l'age requis pour effectuer ce qu'ils appelaient "le bapteme du sang"... Les plus faibles servaient de nouriture aux plus forts pour entrer dans l'âge adulte. On nous bandait les yeux, nous mettaient un fusil d'assaut entre les mains et on nous disait: "vas-y... appuie sur la gachette. Appuie maintenant !" Alors nous appuyions. Nous entendions un cri de douleur, et nous enlevions notre bandeau... On découvrait alors le cadavre d'un de nos camarades, mort d'une rafal de balle dans le corp... Nous étions prêt, enfin... Mais pas moi. Sous le regard attentif du colonel Cotsi, je me suis mis à évoluer... Devenir de plus en plus en silencieux, de plus en plus distant des autres de ma factions... Ce premier meurtre avait réveillé en moi quelque chose de puissant, d'incontrolable... Ca en effrayait beaucoup... Mais pas le colonel. Chaque qu'il me croisait, il me lançait un sourire qui me faisait froid dans le dos... Pendant trois ans, la chose se réveilla, petit à petit... Me faisant découvrir un étrange pouvoir... Je contrôlais le vide autour de moi. Entre chaque particule d'énergie... Je pouvais m'en servir pour progreser en lui et déculper ma force physique, où le projeter sur d'autres choses, pour les détruire, où les saisir... Alors, à 17 ans, ce pouvoir devint assez grand pour débloquer quelque chose dans mon esprit... Pourquoi je me battrais pour "eux" ? Qu'est ce qu'ils avaient de plus que de simples et ridicules humains, dont la folie avait détruit l'âme ? Cette nuit là, je me réveillai en sueur... Je me levai, attrappai quelques vêtements de civils vêtements de civils, ainsi qu'un sabre japonais... Dès lors que je fût sortit de ma tente, le camp se teinta de rouge... Je tuai, encore et encore, comme on me l'avait appris, comme on m'avait formé... J'entrai alors dans la tente des suppérieurs, occupés par trois hommes: l'un deux étaient noir et chauve, d'un beauter viril et d'un charisme incroyable. Un autre pâle et vieux, et quelques cheveux blancs résidaient encore sur sa nuque... Le dernier... n'était pas là. Sa couchette était vide, et les deux hommes semblaient m'attendre. Ils n'ont même pas essayé de se défendre... Lorsque je suis sortit, je l'aperçut. Cotsi. Seul, au millieu du camp, me fixant d'un regard sévère... Moi, je le regardais avec un regard haineux, déchainé...

- Tu savais, pas vrai ? Tu savais ce qu'il allait arriver !

- Bien sûr que je savais. me répondit-t-il avec un sourire moqueur C'est moi qui t'ai fait...

- Qu... Quoi ?

- Hooo... Pauvre petite chose... Tu étais là, avec les autres, dans l'entrepôt... Tu voyais leur nombre ? Pourquoi crois-tu qu'il y en avait autant là-bas, et si peu parmis nous ?

Le colonel prit un temps de silence, me laissant réflèchir à ce que son esprit tordu avait bien pû imaginer... Alors me vint la réponse...

- Ce n'est pas...

- SI ! Bien sûr... Les autres étaient éliminés... comme otage... et tu veux savoir pourquoi tu as été sélèctionner parmis ceux qui devaient vivre ?

C'est alors que le colonel allait me faire la révèlation... Celle qui me pousserais à le tuer, à m'enfuir au Japon dans un internat où on enfermait les fous comme moi...

- Je t'ai créer... Tu n'es pas né comme les autres, comme un humain... Tu es le résultat d'un enchainement d'experience pour créer ma... carte de sortie. Ho... Tu croyais vraiment que je me battais pour la cause de ces abrutis de terroristes ? Je veux juste sortir de cet enfer ! M'enfuir de ce foutu continent... Et pour celà, je t'ai créer, et vendu. Aux plus offrants... Ils m'ont déja payé pour toi... extremement cher... Assez pour me faire une nouveau un passeport, pur m'enfuir au japon et passer le restant de ma vie là-bas sans avoir à trouver un travail... Regarde !

Cotsi me montra une autre. C'était un passeport, avec Hirotaro en guise de nom, Zenko en guise de prénom... C'était les seules choses inscrites sur la carte. Le reste n'avait pas été terminé.

- Mais maintenant, c'est fini pour moi... Je suis né en Afrique, et on m'avait prédit que je ne quitterai jamais ces terres... Maintenant, tu vas me tuer. Mais es-tu vraiment capable de tuer ton colonel ?

- Sans aucun doute.

Alors le sabre de Senzo s'abbatit sur Cotsi... Qui tomba au sol, raide mort. Alors cette phrase qui avait illustré son enfance lui revint en mémoire...
"Nous ne sommes ni des humains... ni des animeaux."

Quelques jours plus tards

Je m'avançais péniblement au travers de la foule, cherchant le guichet qui me ménerai au Japon, dans un endroit où je serais peut-être en sécuriter contre mes "acheteurs"... Je donnai le faux passeport que j'avais terminé à l'agent de sécuriter qui me regarda avec un sourire aimable.

- Bienvenu au Japon, Hirotaro Zenko.





Hobbys: Faire le vide dans son esprit.

Pouvoir: Maîtrise l'énergie du vide.

Autre:

Vous:

Prénom: Adrien

Surnoms et pseudos: Adrikun, adrigi, adri ect...

Age: 13 ans

Sexe: masculin

Où avez-vous connu le forum?
C'est moi Clarence^^

Autre: