Miki Migarukazeno... Dites Mi-Mi, c'est plus simple !

Votre personnage:

Nom:Migarukazeno

Prénom:Miki

Age:16

Sexe:Fille

Caractère:Miki est du genre « pote fonceur », à savoir que sa nature accessible et prompte à discuter a tendance à attirer les gens vers sa personne. Elle est un être qui a tendance aussi à suivre son envie du moment sans vraiment réfléchir aux conséquences que cela peut avoir. Avec son franc-parler, elle n’hésite pas à faire remarquer quelque chose, y compris à son propre sujet, surtout si cela concerne des mimiques d’autres personnes se donnant un « rôle ». Presque sans-gêne quand quelque chose la dérange, elle est sujette à tenir tête à toute personne qui « gonfle », y compris des adultes ou des personnes faisant deux fois sa taille, n’ayant pas peur de la douleur ni de prendre des coups.

S’ennuyant assez facilement, elle a tendance à accepter tous types de défis mais ne le fera jamais pour de l’argent, trouvant qu’accomplir des choses est bien suffisant. Rester en cours à écouter a pour conséquence de l’endormir, l’obligeant ensuite à bouger pour évacuer l’ennui accumulé pendant les heures de classe, surtout en cours de langues vivantes.

Avec les autres personnes, elle a tendance à agir d’une façon presque unique, à savoir choper les gens par les épaules comme un ami de longue date. Même si les gens la repoussent, elle n’est pas du genre à mal le prendre mais fera semblant de bouder ou reviendra à la charge avec une ou deux questions mettant le doigt pile sur une chose qui tourmente son interlocuteur. Autre détail, pour parler d’elle, elle utilise le pronom « ole » qui est la version masculine de « je » et n’est pas franchement pudique, n’ayant pas grand-chose à cacher de toute manière. La composition de sa famille fait qu’elle est totalement blasée par le côté viril des mecs, n’étant pas choquée, même en voyant un membre de la gente masculine se balader en boxer. Elle a la même tendance envers les filles mais il lui arrive parfois d’avoir des gestes dont elle ne pense pas aux conséquences en leur présence.


Physique:Miki est ce qu’on appelle une « grande perche » pour son âge et mais compréhensible au vu de son ascendance, mesurant un mètre soixante-dix-huit pour un poids de soixante et onze kilogrammes, majoritairement de la musculature. Ses cheveux sont blonds cendrés qu’on confond souvent avec du châtain clair, laissés longs jusqu’au milieu des omoplates et souvent coiffés en une tresse large. Son visage fin est doté d’yeux d’une teinte vert émeraude surplombé par des sourcils relativement bien dessinés. Ses oreilles sont ornées de boucles larges en argent, par paire ou selon son envie en un seul exemplaire sur l’un ou l’autre des lobes.

Côté habits, l’athlète ne se sépare jamais de son chapeau fétiche et a tendance à porter des tenues amples dans lesquelles il est simple de se mouvoir, même si par temps froid, le long manteau lourd sort du placard. A son cou, une chaîne portant un anneau en or gravé de symboles ésotériques pend, bijou gardé en permanence, même sous la douche. Ses pieds sont tellement habitués à des baskets et des converses qu’aucun autre type de chaussures ne l’intéresse ni ne lui convient. Quelques cicatrices ornent son corps de part et d’autres, dues à des chutes lors d’excursions dans sa montagne natale mais une très large, en étoile au niveau du bas de l’omoplate droite, reste la plus visible, lorsque les bandes de tissu la masquant son ôtées.

Malgré sa carrure, comprenant sa haute taille, sa musculature et sa voix grave, il s’agit bel et bien d’un individu de genre féminin. Ayant développé ses muscles toute sa vie, et par les mystères de la génétique, Miki n’a pas de poitrine, autrement dit, elle est plate comme une planche à pain, si l’on oublie les pectoraux ornant son torse. Une légère excroissance au niveau de sa gorge laisse aussi l’impression qu’elle a une très légère pomme d’Adam, ce qui n’est pas le cas. Si l’on ajoute ces détails à sa tenue, on se laisse facilement berner et on la prend tout simplement pour un garçon, ce qui est loin de lui déplaire ou même de la choquer.



Famille:Liser l'histoire
Histoire:Perchée sur des genoux de Masato, le premier de ses frères, Miki regardait avec attention l’album photo familial que leur mère venait de sortir et de poser sur les genoux du second fils, Mori. A six ans, l’enfant portait une salopette et les cheveux mi-longs, scrutant de ses yeux verts les diverses photographies, son regard enfantin attiré par une grande dame blonde en tenue traditionnelle japonaise. Sous la surveillance de leur mère, les enfants parcouraient l’album, commenté par la femme qui leur avait donné le jour. Cette grande dame était sa grand-mère donc l’arrière de cette génération et était d’origine russe, expliquant la grande taille des membres de cette famille. Les trois enfants n’allaient sans doute pas échapper à ce fait, leur mère mesurant un mètre soixante-dix-neuf et ayant épousé leur père dépassant le mètre quatre-vingt dix, lui aussi ayant une ascendance métisse.

La famille Migarukazeno est sans doute la plus remarquable de ce voisinage montagnard, la mère de famille, grand maître d’un dojo, ayant épousé son mari policier suite à une victoire sur ce dernier. Garçon manqué, elle élevait ses trois enfants avec rigueur et discipline, sans faire la distinction entre ses garçons et son unique fille, l’entraînant tout comme eux dans le dojo à la sortie de l’école. L’objectif de cette femme était de former ses possibles héritiers, au cas où l’aîné déciderait de ne pas reprendre la suite. Elle-même, unique fille de la fratrie, avait du apprendre sur le tas ce qu’était qu’être maître, ses frères refusant de rester dans la montagne, ayant pour ambition de devenir riches et connus en ville, lui faisant confiance pour maintenir l’héritage familial en état. Fière, la mère avait donc repris le dojo et en fut récompensée en héritant seule des bâtiments, ses frères ne recevant qu’une petite portion de terrain en montagne qu’ils revendirent rapidement. Le père des enfants, souvent absent à cause de son travail, profitait de ses congés pour les emmener en randonnées dans la montagne, leur faisant escalader de petites falaises qu’il avait lui-même sécurisé. Elevée comme ses frères, Miki grandissait rapidement, prenant les habitudes de ces derniers et parfois même davantage de risques qu’eux, n’hésitant pas à sauter par-dessus des clôtures et partir en excursions avec un petit sac à dos et de quoi tenir plusieurs jours, question nourriture. D’un autre côté, ces sorties lui permettaient d’oublier les moqueries dont ses camarades de classe la gratifiaient concernant déjà sa grande taille à ses douze ans. Loin de se mettre à pleurer comme une petite fille, elle avait au contraire tendance à distribuer des coups et faire des prises apprises au dojo. Il n’était pas rare qu’elle revienne avec des bleus ou la lèvre coupée, ayant comme punition de la part de sa mère un nettoyage intégral de la salle d’entraînement et des exercices types pompes ou transport de seaux d’eau pour arroser les plantes du potager.

A ses quatorze ans, alors que les jeunes filles de son âge commencent à s’intéresser aux garçons ou aux amourettes, Miki n’avait déjà plus rien d’une demoiselle. N’aimant pas du tout porter de vêtements féminins, elle allait jusqu’à donner les sous-vêtements de fille qu’elle avait dans ses tiroirs, leur préférant caleçons et boxers de ses aînés. La seule chose qu’elle refusait de faire c’était de se couper les cheveux courts, trouvant que ce genre de coiffure ne lui allait pas du tout. Lorsque sa mère se rendit compte qu’elle avait non pas une fille mais un autre fils, elle tenta de rectifier le tir, forçant Miki à porter des habits de fille genre robe pastelle et un ruban de velours rouge dans les cheveux. En la voyant ainsi, ses frères ne purent s’empêcher de rire car la musculature déjà développée de l’adolescente lui donnait l’air d’un travesti raté. Enervée par les moqueries, Miki se mit à utiliser le pronom masculin pour se désigner et resta enfermée dans sa chambre, planifiant de s’échapper de cette famille qui avait décidé de LE changer en fille. Dans son esprit, jamais IL n’aurait pu devenir l’une de ces petites créatures qui pleuraient pour un rien ou rougissaient en voyant un garçon. A ce sujet, il repensa bientôt à l’une de ses camarades qui le regardait avec un drôle d’air, sachant pourtant que ses centres intérêts étaient loin d’être les mêmes.

En pleine nuit, sac chargé et matériel vérifié, Miki fit une fugue, empruntant un sentier que leur père leur avait montré bien des fois mais leur faisant prendre dans une certaine direction à un croisement, l’autre destiné aux personnes expérimentées. Bien entendu, Miki choisit ladite voie, avançant en grommelant et cherchant à s’éloigner rapidement de la maison, son esprit rempli des rires moqueurs de ses frères et de la honte ressentie. Près d’une heure après son départ, tandis qu’il parcourait un chemin creusé dans la paroi et surplombant une crevasse, son ouïe aiguisée par son enfance en montagne perçut un couinement. Utilisant sa lampe frontale pour éclairer la crevasse, son cœur loupa un battement en voyant un chiot berger allemand en contrebas. Ni une ni deux, Miki attacha une corde à un tronc d’arbre et s’en servit pour descendre le long de la paroi… Seulement le frottement des fibres sur des pierres finit par affaiblir le lien, déstabilisant Miki qui lâcha prise. La chute dans la crevasse lui provoqua de nombreuses blessures superficielles mais également une profonde, raclant les parois et venant presque s’empaler sur une pierre acérée au niveau de l’omoplate. Malgré la douleur, la première chose que fit Miki fut de voir l’état du chiot qui, apeuré, lui mordit la main. En dépit de la surprise, ce fut par des mots rassurants et des caresses gentilles que l’adolescent lui fit lâcher prise, ouvrant son sac pour l’y faire grimper. Sans corde et en tentant d’oublier la douleur, Miki ne pouvait pas se servir de l’autre pour remonter et dut tenter d’escalader en étendant ses bras et jambes. Les parois acérées et les blessures l’empêchèrent de remonter plusieurs fois mais malgré tout, aucun découragement n’avait le temps de s’installer. Borné, le pseudo adolescent tenta une dernière fois et remonta plusieurs mètres, glissant encore mais rattrapé de justesse par Masato, retenu à la taille par une corde liée à l’ensemble de la famille. A peine remonté, Miki eut droit à un ensemble de quatre poings sur son crâne avant d’être amené à l’hôpital, se liant par cette épreuve au chiot qui ne le quittait plus ensuite. En dépit de cet épisode marquant, Miki n’avait pas peur des chutes et prenait même davantage de risques, manquant faire déprimer sa mère alors qu’il renonçait pour de bon au côté « fragile » féminin.

Seize ans juste, Miki présenta un bulletin de notes à sa mère, chose qui lui valut une prise à laquelle il parvint à résister. La moyenne à peine, sauf en sport où ses notes étaient les plus hautes, fit s’énerver la mère de famille. Miki ne faisait pas grand-chose en cours, étant là mais venant au lycée uniquement ou quasiment pour voir ses camarades, des garçons bagarreurs et bonne nature. Voyant que son troisième rejeton n’avait pas envie de travailler, sa mère décida d’utiliser la menace. Puisque les études n’étaient pas son fort, autant la marier !

-Tu rigoles !

-J’en ai l’air ? Puisque tu ne veux rien faire, autant que je cesse les frais ! Je vais préparer l’omiai… Ou alors il y a une autre option…

-Je prends !

Sa mère eut un étrange sourire en lui parlant d’un pensionnat qui lui avait tapé dans l’œil, situé dans "ZE" ville. Faisant irruption dans la pièce, les trois hommes de la famille s’étalèrent par terre, les yeux grands comme des soucoupes. La décision était prise et les bagages rapidement faits. Avant d’être quasiment jeté dans le taxi, Miki se vit offrir le chapeau favori de Masato et une paire de boucles d’oreilles appartenant à Mori. Son père lui donna de l’argent avec un clin d’œil complice et sa mère lui fit un cadeau « pense-bête », une chaîne dans laquelle un anneau de fiançailles en or tintait, rappelant au pseudo garçon qu’une épée de Damoclès planait encore sur sa tête. Maruu, le berger allemand, salua l’adolescent par un long hurlement plaintif, coursant la voiture qui filait. Miki avait le droit de se faire des potes mais si cela influait sur ses résultats, ce serait le mariage arrangé, garçon manqué ou pas, juste seize ans ou pas !


Hobbys:

Pouvoir:Créer des mosntre en se focalisant sur des sentiment

Autre:Se fais passer pour un garçon

Vous:

Prénom:Je me nomme *Censurer*

Surnoms et pseudos:Mi-mi, Ni-mi, Mi-kun

Age:Je ne le dit pas

Sexe:Fille

Où avez-vous connu le forum?Top site

Autre:(Le personnage se désignant avec la forme masculine du pronom « je », je ferai mes posts avec cette forme sauf avec les gens qui sauront qui est vraiment Miki. )